Les visites de la serre, gratuites et sur réservation en ligne, vont bientôt recommencer !
AGENDA
Découvrez le Jardin comestible et permaculturel avec notre Jardinier Botaniste Jeff !
Visite d’une heure trente.
RDV à l’entrée Henri IV 5 mn avant, pensez au chapeau et à la bouteille d’eau !
Le vendredi 12 septembre
De 18h à 19h30
Parvis de l’Orangerie
Partenariat – 
Accès libre et sans réservation !
À l’occasion de la fin de Monopolis, la poétesse états-unienne Anne Boyer nous fait l’honneur de sa présence pour une lecture en public de ses poèmes dans le magnifique cadre du jardin des plantes de Montpellier. Dans l’exposition accueillie à Mécènes du Sud, Anne Boyer présente un recueil de poèmes Money City As Fuck dont des extraits ont été co-traduits en français par Lou Ferrand, Manon Michèle et Mona Varichon et accompagnés de sa lettre de démission de son poste d’éditrice de la rubrique poésie du New York Times Magazine.
En 2014, Anne Boyer a reçu un diagnostic de cancer du sein triple négatif très agressif, ce qui l’a amenée à travailler sur la politique des soins à l’ère de la précarité. Son livre sur la maladie, Celles qui ne meurent pas, a été récompensé par le très prestigieux Prix Pulitzer. Selon le critique Chris Strofollino, l’œuvre de Boyer « élargit les frontières de la poésie et des mémoires telles que nous les connaissons ».
Biographie d’Anne Boyer
Anne Boyer est une poète nord-américaine et essayiste originaire du Kansas, désormais basée en Écosse. Ses œuvres incluent notamment A Handbook of Disappointed Fate, Garments Against Women, que Maureen McLane a décrit dans le New York Times comme « un livre triste, beau et passionné qui rend compte de l’économie politique de la littérature et de la vie elle-même », ou encore Celles qui ne meurent pas, qui a reçu le Prix Pulitzer de l’essai en 2020. Jusqu’au 16 novembre 2023, Anne Boyer était rédactrice en chef de la section poésie du New York Times Magazine, à qui elle a remis sa démission pour protester contre la ligne éditoriale du journal qui approuve la politique d’apartheid du gouvernement états-unien à l’égard du peuple palestinien.
→ En savoir plus sur l’exposition Monopolis
Une exposition du 22 mai au 13 septembre 2025
Commissariat : Lou Ferrand
Avec : Anne Boyer, Mira Calix, Thelma Cappello, Anne-Lise Coste (Uruk), Penny Goring, Rafael Moreno, Mona Varichon et Women’s History Museum
 
Visite proposée par l’association des Amis du Jardin
Guide : Régis Meuzeret
De 15:00 à 17:00
Toutes les visites des JEP – 20 et 21 septembre 2025 –
Ce que le vent efface – Expo photo – Olivier MARTEL
« La grande aventure de l’existence est de trouver là où l’on est bien »
Cette citation de Sylvain Tesson résume ma quête : celle d’un lieu d’harmonie, où l’homme peut se reconnecter à la nature, tout en redécouvrant son propre équilibre intérieur.
Elle résonne avec mon parcours de juriste reconverti en photographe de paysage, où la nature devient un espace de contemplation et de résilience.
Je trouve mon inspiration dans les grands espaces et ma photographie, marquée par une sensibilité intime à l’impermanence des choses, se nourrit de mes errances solitaires à travers des paysages silencieux et majestueux.
Mon travail photographique s’articule autour de la notion japonaise du mono no aware qui est l’art de voir l’émotion dans les choses et de les transcrire, un art de l’éphémère et une attitude teintée de mélancolie face à cette impermanence.
À travers ma pratique, j’incite le spectateur à contempler la nature non pas comme un objet de possession, mais comme une entité fragile.
Fermé les lundis

Affiche exposition
Le vendredi 12 septembre
De 18h à 19h30
Parvis de l’Orangerie
Partenariat – 
Accès libre et sans réservation !
À l’occasion de la fin de Monopolis, la poétesse états-unienne Anne Boyer nous fait l’honneur de sa présence pour une lecture en public de ses poèmes dans le magnifique cadre du jardin des plantes de Montpellier. Dans l’exposition accueillie à Mécènes du Sud, Anne Boyer présente un recueil de poèmes Money City As Fuck dont des extraits ont été co-traduits en français par Lou Ferrand, Manon Michèle et Mona Varichon et accompagnés de sa lettre de démission de son poste d’éditrice de la rubrique poésie du New York Times Magazine.
En 2014, Anne Boyer a reçu un diagnostic de cancer du sein triple négatif très agressif, ce qui l’a amenée à travailler sur la politique des soins à l’ère de la précarité. Son livre sur la maladie, Celles qui ne meurent pas, a été récompensé par le très prestigieux Prix Pulitzer. Selon le critique Chris Strofollino, l’œuvre de Boyer « élargit les frontières de la poésie et des mémoires telles que nous les connaissons ».
Biographie d’Anne Boyer
Anne Boyer est une poète nord-américaine et essayiste originaire du Kansas, désormais basée en Écosse. Ses œuvres incluent notamment A Handbook of Disappointed Fate, Garments Against Women, que Maureen McLane a décrit dans le New York Times comme « un livre triste, beau et passionné qui rend compte de l’économie politique de la littérature et de la vie elle-même », ou encore Celles qui ne meurent pas, qui a reçu le Prix Pulitzer de l’essai en 2020. Jusqu’au 16 novembre 2023, Anne Boyer était rédactrice en chef de la section poésie du New York Times Magazine, à qui elle a remis sa démission pour protester contre la ligne éditoriale du journal qui approuve la politique d’apartheid du gouvernement états-unien à l’égard du peuple palestinien.
→ En savoir plus sur l’exposition Monopolis
Une exposition du 22 mai au 13 septembre 2025
Commissariat : Lou Ferrand
Avec : Anne Boyer, Mira Calix, Thelma Cappello, Anne-Lise Coste (Uruk), Penny Goring, Rafael Moreno, Mona Varichon et Women’s History Museum
 
Visite proposée par l’association des Amis du Jardin
Guide : Régis Meuzeret
De 15:00 à 17:00
Toutes les visites des JEP – 20 et 21 septembre 2025 –
Ce que le vent efface – Expo photo – Olivier MARTEL
« La grande aventure de l’existence est de trouver là où l’on est bien »
Cette citation de Sylvain Tesson résume ma quête : celle d’un lieu d’harmonie, où l’homme peut se reconnecter à la nature, tout en redécouvrant son propre équilibre intérieur.
Elle résonne avec mon parcours de juriste reconverti en photographe de paysage, où la nature devient un espace de contemplation et de résilience.
Je trouve mon inspiration dans les grands espaces et ma photographie, marquée par une sensibilité intime à l’impermanence des choses, se nourrit de mes errances solitaires à travers des paysages silencieux et majestueux.
Mon travail photographique s’articule autour de la notion japonaise du mono no aware qui est l’art de voir l’émotion dans les choses et de les transcrire, un art de l’éphémère et une attitude teintée de mélancolie face à cette impermanence.
À travers ma pratique, j’incite le spectateur à contempler la nature non pas comme un objet de possession, mais comme une entité fragile.
Fermé les lundis

Affiche exposition
Toutes les visites des JEP – 20 et 21 septembre 2025 –
Ce que le vent efface – Expo photo – Olivier MARTEL
« La grande aventure de l’existence est de trouver là où l’on est bien »
Cette citation de Sylvain Tesson résume ma quête : celle d’un lieu d’harmonie, où l’homme peut se reconnecter à la nature, tout en redécouvrant son propre équilibre intérieur.
Elle résonne avec mon parcours de juriste reconverti en photographe de paysage, où la nature devient un espace de contemplation et de résilience.
Je trouve mon inspiration dans les grands espaces et ma photographie, marquée par une sensibilité intime à l’impermanence des choses, se nourrit de mes errances solitaires à travers des paysages silencieux et majestueux.
Mon travail photographique s’articule autour de la notion japonaise du mono no aware qui est l’art de voir l’émotion dans les choses et de les transcrire, un art de l’éphémère et une attitude teintée de mélancolie face à cette impermanence.
À travers ma pratique, j’incite le spectateur à contempler la nature non pas comme un objet de possession, mais comme une entité fragile.
Fermé les lundis

Affiche exposition
Ce que le vent efface – Expo photo – Olivier MARTEL
« La grande aventure de l’existence est de trouver là où l’on est bien »
Cette citation de Sylvain Tesson résume ma quête : celle d’un lieu d’harmonie, où l’homme peut se reconnecter à la nature, tout en redécouvrant son propre équilibre intérieur.
Elle résonne avec mon parcours de juriste reconverti en photographe de paysage, où la nature devient un espace de contemplation et de résilience.
Je trouve mon inspiration dans les grands espaces et ma photographie, marquée par une sensibilité intime à l’impermanence des choses, se nourrit de mes errances solitaires à travers des paysages silencieux et majestueux.
Mon travail photographique s’articule autour de la notion japonaise du mono no aware qui est l’art de voir l’émotion dans les choses et de les transcrire, un art de l’éphémère et une attitude teintée de mélancolie face à cette impermanence.
À travers ma pratique, j’incite le spectateur à contempler la nature non pas comme un objet de possession, mais comme une entité fragile.
Fermé les lundis

Affiche exposition
Ce que le vent efface – Expo photo – Olivier MARTEL
« La grande aventure de l’existence est de trouver là où l’on est bien »
Cette citation de Sylvain Tesson résume ma quête : celle d’un lieu d’harmonie, où l’homme peut se reconnecter à la nature, tout en redécouvrant son propre équilibre intérieur.
Elle résonne avec mon parcours de juriste reconverti en photographe de paysage, où la nature devient un espace de contemplation et de résilience.
Je trouve mon inspiration dans les grands espaces et ma photographie, marquée par une sensibilité intime à l’impermanence des choses, se nourrit de mes errances solitaires à travers des paysages silencieux et majestueux.
Mon travail photographique s’articule autour de la notion japonaise du mono no aware qui est l’art de voir l’émotion dans les choses et de les transcrire, un art de l’éphémère et une attitude teintée de mélancolie face à cette impermanence.
À travers ma pratique, j’incite le spectateur à contempler la nature non pas comme un objet de possession, mais comme une entité fragile.
Fermé les lundis

Affiche exposition
Ce que le vent efface – Expo photo – Olivier MARTEL
« La grande aventure de l’existence est de trouver là où l’on est bien »
Cette citation de Sylvain Tesson résume ma quête : celle d’un lieu d’harmonie, où l’homme peut se reconnecter à la nature, tout en redécouvrant son propre équilibre intérieur.
Elle résonne avec mon parcours de juriste reconverti en photographe de paysage, où la nature devient un espace de contemplation et de résilience.
Je trouve mon inspiration dans les grands espaces et ma photographie, marquée par une sensibilité intime à l’impermanence des choses, se nourrit de mes errances solitaires à travers des paysages silencieux et majestueux.
Mon travail photographique s’articule autour de la notion japonaise du mono no aware qui est l’art de voir l’émotion dans les choses et de les transcrire, un art de l’éphémère et une attitude teintée de mélancolie face à cette impermanence.
À travers ma pratique, j’incite le spectateur à contempler la nature non pas comme un objet de possession, mais comme une entité fragile.
Fermé les lundis

Affiche exposition
Ce que le vent efface – Expo photo – Olivier MARTEL
« La grande aventure de l’existence est de trouver là où l’on est bien »
Cette citation de Sylvain Tesson résume ma quête : celle d’un lieu d’harmonie, où l’homme peut se reconnecter à la nature, tout en redécouvrant son propre équilibre intérieur.
Elle résonne avec mon parcours de juriste reconverti en photographe de paysage, où la nature devient un espace de contemplation et de résilience.
Je trouve mon inspiration dans les grands espaces et ma photographie, marquée par une sensibilité intime à l’impermanence des choses, se nourrit de mes errances solitaires à travers des paysages silencieux et majestueux.
Mon travail photographique s’articule autour de la notion japonaise du mono no aware qui est l’art de voir l’émotion dans les choses et de les transcrire, un art de l’éphémère et une attitude teintée de mélancolie face à cette impermanence.
À travers ma pratique, j’incite le spectateur à contempler la nature non pas comme un objet de possession, mais comme une entité fragile.
Fermé les lundis

Affiche exposition
Ce que le vent efface – Expo photo – Olivier MARTEL
« La grande aventure de l’existence est de trouver là où l’on est bien »
Cette citation de Sylvain Tesson résume ma quête : celle d’un lieu d’harmonie, où l’homme peut se reconnecter à la nature, tout en redécouvrant son propre équilibre intérieur.
Elle résonne avec mon parcours de juriste reconverti en photographe de paysage, où la nature devient un espace de contemplation et de résilience.
Je trouve mon inspiration dans les grands espaces et ma photographie, marquée par une sensibilité intime à l’impermanence des choses, se nourrit de mes errances solitaires à travers des paysages silencieux et majestueux.
Mon travail photographique s’articule autour de la notion japonaise du mono no aware qui est l’art de voir l’émotion dans les choses et de les transcrire, un art de l’éphémère et une attitude teintée de mélancolie face à cette impermanence.
À travers ma pratique, j’incite le spectateur à contempler la nature non pas comme un objet de possession, mais comme une entité fragile.
Fermé les lundis

Affiche exposition
Ce que le vent efface – Expo photo – Olivier MARTEL
« La grande aventure de l’existence est de trouver là où l’on est bien »
Cette citation de Sylvain Tesson résume ma quête : celle d’un lieu d’harmonie, où l’homme peut se reconnecter à la nature, tout en redécouvrant son propre équilibre intérieur.
Elle résonne avec mon parcours de juriste reconverti en photographe de paysage, où la nature devient un espace de contemplation et de résilience.
Je trouve mon inspiration dans les grands espaces et ma photographie, marquée par une sensibilité intime à l’impermanence des choses, se nourrit de mes errances solitaires à travers des paysages silencieux et majestueux.
Mon travail photographique s’articule autour de la notion japonaise du mono no aware qui est l’art de voir l’émotion dans les choses et de les transcrire, un art de l’éphémère et une attitude teintée de mélancolie face à cette impermanence.
À travers ma pratique, j’incite le spectateur à contempler la nature non pas comme un objet de possession, mais comme une entité fragile.
Fermé les lundis

Affiche exposition
Ce que le vent efface – Expo photo – Olivier MARTEL
« La grande aventure de l’existence est de trouver là où l’on est bien »
Cette citation de Sylvain Tesson résume ma quête : celle d’un lieu d’harmonie, où l’homme peut se reconnecter à la nature, tout en redécouvrant son propre équilibre intérieur.
Elle résonne avec mon parcours de juriste reconverti en photographe de paysage, où la nature devient un espace de contemplation et de résilience.
Je trouve mon inspiration dans les grands espaces et ma photographie, marquée par une sensibilité intime à l’impermanence des choses, se nourrit de mes errances solitaires à travers des paysages silencieux et majestueux.
Mon travail photographique s’articule autour de la notion japonaise du mono no aware qui est l’art de voir l’émotion dans les choses et de les transcrire, un art de l’éphémère et une attitude teintée de mélancolie face à cette impermanence.
À travers ma pratique, j’incite le spectateur à contempler la nature non pas comme un objet de possession, mais comme une entité fragile.
Fermé les lundis

Affiche exposition
Ce que le vent efface – Expo photo – Olivier MARTEL
« La grande aventure de l’existence est de trouver là où l’on est bien »
Cette citation de Sylvain Tesson résume ma quête : celle d’un lieu d’harmonie, où l’homme peut se reconnecter à la nature, tout en redécouvrant son propre équilibre intérieur.
Elle résonne avec mon parcours de juriste reconverti en photographe de paysage, où la nature devient un espace de contemplation et de résilience.
Je trouve mon inspiration dans les grands espaces et ma photographie, marquée par une sensibilité intime à l’impermanence des choses, se nourrit de mes errances solitaires à travers des paysages silencieux et majestueux.
Mon travail photographique s’articule autour de la notion japonaise du mono no aware qui est l’art de voir l’émotion dans les choses et de les transcrire, un art de l’éphémère et une attitude teintée de mélancolie face à cette impermanence.
À travers ma pratique, j’incite le spectateur à contempler la nature non pas comme un objet de possession, mais comme une entité fragile.
Fermé les lundis

Affiche exposition
Ce que le vent efface – Expo photo – Olivier MARTEL
« La grande aventure de l’existence est de trouver là où l’on est bien »
Cette citation de Sylvain Tesson résume ma quête : celle d’un lieu d’harmonie, où l’homme peut se reconnecter à la nature, tout en redécouvrant son propre équilibre intérieur.
Elle résonne avec mon parcours de juriste reconverti en photographe de paysage, où la nature devient un espace de contemplation et de résilience.
Je trouve mon inspiration dans les grands espaces et ma photographie, marquée par une sensibilité intime à l’impermanence des choses, se nourrit de mes errances solitaires à travers des paysages silencieux et majestueux.
Mon travail photographique s’articule autour de la notion japonaise du mono no aware qui est l’art de voir l’émotion dans les choses et de les transcrire, un art de l’éphémère et une attitude teintée de mélancolie face à cette impermanence.
À travers ma pratique, j’incite le spectateur à contempler la nature non pas comme un objet de possession, mais comme une entité fragile.
Fermé les lundis

Affiche exposition
Ce que le vent efface – Expo photo – Olivier MARTEL
« La grande aventure de l’existence est de trouver là où l’on est bien »
Cette citation de Sylvain Tesson résume ma quête : celle d’un lieu d’harmonie, où l’homme peut se reconnecter à la nature, tout en redécouvrant son propre équilibre intérieur.
Elle résonne avec mon parcours de juriste reconverti en photographe de paysage, où la nature devient un espace de contemplation et de résilience.
Je trouve mon inspiration dans les grands espaces et ma photographie, marquée par une sensibilité intime à l’impermanence des choses, se nourrit de mes errances solitaires à travers des paysages silencieux et majestueux.
Mon travail photographique s’articule autour de la notion japonaise du mono no aware qui est l’art de voir l’émotion dans les choses et de les transcrire, un art de l’éphémère et une attitude teintée de mélancolie face à cette impermanence.
À travers ma pratique, j’incite le spectateur à contempler la nature non pas comme un objet de possession, mais comme une entité fragile.
Fermé les lundis

Affiche exposition
Ce que le vent efface – Expo photo – Olivier MARTEL
« La grande aventure de l’existence est de trouver là où l’on est bien »
Cette citation de Sylvain Tesson résume ma quête : celle d’un lieu d’harmonie, où l’homme peut se reconnecter à la nature, tout en redécouvrant son propre équilibre intérieur.
Elle résonne avec mon parcours de juriste reconverti en photographe de paysage, où la nature devient un espace de contemplation et de résilience.
Je trouve mon inspiration dans les grands espaces et ma photographie, marquée par une sensibilité intime à l’impermanence des choses, se nourrit de mes errances solitaires à travers des paysages silencieux et majestueux.
Mon travail photographique s’articule autour de la notion japonaise du mono no aware qui est l’art de voir l’émotion dans les choses et de les transcrire, un art de l’éphémère et une attitude teintée de mélancolie face à cette impermanence.
À travers ma pratique, j’incite le spectateur à contempler la nature non pas comme un objet de possession, mais comme une entité fragile.
Fermé les lundis

Affiche exposition
Fermeture pour événement facultaire.
Ce que le vent efface – Expo photo – Olivier MARTEL
« La grande aventure de l’existence est de trouver là où l’on est bien »
Cette citation de Sylvain Tesson résume ma quête : celle d’un lieu d’harmonie, où l’homme peut se reconnecter à la nature, tout en redécouvrant son propre équilibre intérieur.
Elle résonne avec mon parcours de juriste reconverti en photographe de paysage, où la nature devient un espace de contemplation et de résilience.
Je trouve mon inspiration dans les grands espaces et ma photographie, marquée par une sensibilité intime à l’impermanence des choses, se nourrit de mes errances solitaires à travers des paysages silencieux et majestueux.
Mon travail photographique s’articule autour de la notion japonaise du mono no aware qui est l’art de voir l’émotion dans les choses et de les transcrire, un art de l’éphémère et une attitude teintée de mélancolie face à cette impermanence.
À travers ma pratique, j’incite le spectateur à contempler la nature non pas comme un objet de possession, mais comme une entité fragile.
Fermé les lundis

Affiche exposition
Ce que le vent efface – Expo photo – Olivier MARTEL
« La grande aventure de l’existence est de trouver là où l’on est bien »
Cette citation de Sylvain Tesson résume ma quête : celle d’un lieu d’harmonie, où l’homme peut se reconnecter à la nature, tout en redécouvrant son propre équilibre intérieur.
Elle résonne avec mon parcours de juriste reconverti en photographe de paysage, où la nature devient un espace de contemplation et de résilience.
Je trouve mon inspiration dans les grands espaces et ma photographie, marquée par une sensibilité intime à l’impermanence des choses, se nourrit de mes errances solitaires à travers des paysages silencieux et majestueux.
Mon travail photographique s’articule autour de la notion japonaise du mono no aware qui est l’art de voir l’émotion dans les choses et de les transcrire, un art de l’éphémère et une attitude teintée de mélancolie face à cette impermanence.
À travers ma pratique, j’incite le spectateur à contempler la nature non pas comme un objet de possession, mais comme une entité fragile.
Fermé les lundis

Affiche exposition
Fermeture pour événement facultaire.
LES ACTUALITÉS DE LA FACULTÉ AU JARDIN
ÉVÈNEMENTS, ANIMATIONS…

Ce que le vent efface
1 octobre 2025/par Faculté de Médecine
Remise des diplômes des 6ème année de médecine Montpellier-Nîmes
29 septembre 2025/par Faculté de Médecine
Expo photo – Jardin des Plantes
«…

Les visites JEP 2025 au Jardin des Plantes

Retour sur la journée d’accueil des DFGSM2 suivie de la cérémonie des stéthoscopes 2025
10 septembre 2025/par communication
France 3 : Reportage sur le Jardin des Plantes
5 septembre 2025/par communication
Lecture publique de poèmes
3 septembre 2025/par Faculté de Médecine
Séminaire pédagogique : retour en images
1 juillet 2025/par communication
Exposition Boutographies 2025
6 mai 2025/par jean-francois fauveau
Une journée dédiée à l’environnement au Jardin des Plantes
27 mars 2025/par communication
Primavera 20ème édition – retour en images
24 mars 2025/par Faculté de Médecine








