https://www.eventbrite.com/o/jardin-des-plantes-montpellier-48940088223
AGENDA
Discover the Edible and Permaculture Garden with our Botanist Gardener Jeff!
One-and-a-half-hour visit.
Meet at the Henri IV entrance 5 minutes before the event. Don't forget your hat and bottle of water!
Visit offered by the Friends of the Garden association
Guide: Régis Meuzeret
From 3:00 pm to 5:00 pm
Ce que le vent efface – Expo photo – Olivier MARTEL
« La grande aventure de l’existence est de trouver là où l’on est bien »
Cette citation de Sylvain Tesson résume ma quête : celle d’un lieu d’harmonie, où l’homme peut se reconnecter à la nature, tout en redécouvrant son propre équilibre intérieur.
Elle résonne avec mon parcours de juriste reconverti en photographe de paysage, où la nature devient un espace de contemplation et de résilience.
Je trouve mon inspiration dans les grands espaces et ma photographie, marquée par une sensibilité intime à l’impermanence des choses, se nourrit de mes errances solitaires à travers des paysages silencieux et majestueux.
Mon travail photographique s’articule autour de la notion japonaise du mono no aware qui est l’art de voir l’émotion dans les choses et de les transcrire, un art de l’éphémère et une attitude teintée de mélancolie face à cette impermanence.
À travers ma pratique, j’incite le spectateur à contempler la nature non pas comme un objet de possession, mais comme une entité fragile.
Fermé les lundis

Affiche exposition
Visit offered by the Friends of the Garden association
Guide: Régis Meuzeret
From 3:00 pm to 5:00 pm
Ce que le vent efface – Expo photo – Olivier MARTEL
« La grande aventure de l’existence est de trouver là où l’on est bien »
Cette citation de Sylvain Tesson résume ma quête : celle d’un lieu d’harmonie, où l’homme peut se reconnecter à la nature, tout en redécouvrant son propre équilibre intérieur.
Elle résonne avec mon parcours de juriste reconverti en photographe de paysage, où la nature devient un espace de contemplation et de résilience.
Je trouve mon inspiration dans les grands espaces et ma photographie, marquée par une sensibilité intime à l’impermanence des choses, se nourrit de mes errances solitaires à travers des paysages silencieux et majestueux.
Mon travail photographique s’articule autour de la notion japonaise du mono no aware qui est l’art de voir l’émotion dans les choses et de les transcrire, un art de l’éphémère et une attitude teintée de mélancolie face à cette impermanence.
À travers ma pratique, j’incite le spectateur à contempler la nature non pas comme un objet de possession, mais comme une entité fragile.
Fermé les lundis

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Ce que le vent efface – Expo photo – Olivier MARTEL
« La grande aventure de l’existence est de trouver là où l’on est bien »
Cette citation de Sylvain Tesson résume ma quête : celle d’un lieu d’harmonie, où l’homme peut se reconnecter à la nature, tout en redécouvrant son propre équilibre intérieur.
Elle résonne avec mon parcours de juriste reconverti en photographe de paysage, où la nature devient un espace de contemplation et de résilience.
Je trouve mon inspiration dans les grands espaces et ma photographie, marquée par une sensibilité intime à l’impermanence des choses, se nourrit de mes errances solitaires à travers des paysages silencieux et majestueux.
Mon travail photographique s’articule autour de la notion japonaise du mono no aware qui est l’art de voir l’émotion dans les choses et de les transcrire, un art de l’éphémère et une attitude teintée de mélancolie face à cette impermanence.
À travers ma pratique, j’incite le spectateur à contempler la nature non pas comme un objet de possession, mais comme une entité fragile.
Fermé les lundis

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Ce que le vent efface – Expo photo – Olivier MARTEL
« La grande aventure de l’existence est de trouver là où l’on est bien »
Cette citation de Sylvain Tesson résume ma quête : celle d’un lieu d’harmonie, où l’homme peut se reconnecter à la nature, tout en redécouvrant son propre équilibre intérieur.
Elle résonne avec mon parcours de juriste reconverti en photographe de paysage, où la nature devient un espace de contemplation et de résilience.
Je trouve mon inspiration dans les grands espaces et ma photographie, marquée par une sensibilité intime à l’impermanence des choses, se nourrit de mes errances solitaires à travers des paysages silencieux et majestueux.
Mon travail photographique s’articule autour de la notion japonaise du mono no aware qui est l’art de voir l’émotion dans les choses et de les transcrire, un art de l’éphémère et une attitude teintée de mélancolie face à cette impermanence.
À travers ma pratique, j’incite le spectateur à contempler la nature non pas comme un objet de possession, mais comme une entité fragile.
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« La grande aventure de l’existence est de trouver là où l’on est bien »
Cette citation de Sylvain Tesson résume ma quête : celle d’un lieu d’harmonie, où l’homme peut se reconnecter à la nature, tout en redécouvrant son propre équilibre intérieur.
Elle résonne avec mon parcours de juriste reconverti en photographe de paysage, où la nature devient un espace de contemplation et de résilience.
Je trouve mon inspiration dans les grands espaces et ma photographie, marquée par une sensibilité intime à l’impermanence des choses, se nourrit de mes errances solitaires à travers des paysages silencieux et majestueux.
Mon travail photographique s’articule autour de la notion japonaise du mono no aware qui est l’art de voir l’émotion dans les choses et de les transcrire, un art de l’éphémère et une attitude teintée de mélancolie face à cette impermanence.
À travers ma pratique, j’incite le spectateur à contempler la nature non pas comme un objet de possession, mais comme une entité fragile.
Fermé les lundis

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Cette citation de Sylvain Tesson résume ma quête : celle d’un lieu d’harmonie, où l’homme peut se reconnecter à la nature, tout en redécouvrant son propre équilibre intérieur.
Elle résonne avec mon parcours de juriste reconverti en photographe de paysage, où la nature devient un espace de contemplation et de résilience.
Je trouve mon inspiration dans les grands espaces et ma photographie, marquée par une sensibilité intime à l’impermanence des choses, se nourrit de mes errances solitaires à travers des paysages silencieux et majestueux.
Mon travail photographique s’articule autour de la notion japonaise du mono no aware qui est l’art de voir l’émotion dans les choses et de les transcrire, un art de l’éphémère et une attitude teintée de mélancolie face à cette impermanence.
À travers ma pratique, j’incite le spectateur à contempler la nature non pas comme un objet de possession, mais comme une entité fragile.
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Cette citation de Sylvain Tesson résume ma quête : celle d’un lieu d’harmonie, où l’homme peut se reconnecter à la nature, tout en redécouvrant son propre équilibre intérieur.
Elle résonne avec mon parcours de juriste reconverti en photographe de paysage, où la nature devient un espace de contemplation et de résilience.
Je trouve mon inspiration dans les grands espaces et ma photographie, marquée par une sensibilité intime à l’impermanence des choses, se nourrit de mes errances solitaires à travers des paysages silencieux et majestueux.
Mon travail photographique s’articule autour de la notion japonaise du mono no aware qui est l’art de voir l’émotion dans les choses et de les transcrire, un art de l’éphémère et une attitude teintée de mélancolie face à cette impermanence.
À travers ma pratique, j’incite le spectateur à contempler la nature non pas comme un objet de possession, mais comme une entité fragile.
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Cette citation de Sylvain Tesson résume ma quête : celle d’un lieu d’harmonie, où l’homme peut se reconnecter à la nature, tout en redécouvrant son propre équilibre intérieur.
Elle résonne avec mon parcours de juriste reconverti en photographe de paysage, où la nature devient un espace de contemplation et de résilience.
Je trouve mon inspiration dans les grands espaces et ma photographie, marquée par une sensibilité intime à l’impermanence des choses, se nourrit de mes errances solitaires à travers des paysages silencieux et majestueux.
Mon travail photographique s’articule autour de la notion japonaise du mono no aware qui est l’art de voir l’émotion dans les choses et de les transcrire, un art de l’éphémère et une attitude teintée de mélancolie face à cette impermanence.
À travers ma pratique, j’incite le spectateur à contempler la nature non pas comme un objet de possession, mais comme une entité fragile.
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Cette citation de Sylvain Tesson résume ma quête : celle d’un lieu d’harmonie, où l’homme peut se reconnecter à la nature, tout en redécouvrant son propre équilibre intérieur.
Elle résonne avec mon parcours de juriste reconverti en photographe de paysage, où la nature devient un espace de contemplation et de résilience.
Je trouve mon inspiration dans les grands espaces et ma photographie, marquée par une sensibilité intime à l’impermanence des choses, se nourrit de mes errances solitaires à travers des paysages silencieux et majestueux.
Mon travail photographique s’articule autour de la notion japonaise du mono no aware qui est l’art de voir l’émotion dans les choses et de les transcrire, un art de l’éphémère et une attitude teintée de mélancolie face à cette impermanence.
À travers ma pratique, j’incite le spectateur à contempler la nature non pas comme un objet de possession, mais comme une entité fragile.
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Cette citation de Sylvain Tesson résume ma quête : celle d’un lieu d’harmonie, où l’homme peut se reconnecter à la nature, tout en redécouvrant son propre équilibre intérieur.
Elle résonne avec mon parcours de juriste reconverti en photographe de paysage, où la nature devient un espace de contemplation et de résilience.
Je trouve mon inspiration dans les grands espaces et ma photographie, marquée par une sensibilité intime à l’impermanence des choses, se nourrit de mes errances solitaires à travers des paysages silencieux et majestueux.
Mon travail photographique s’articule autour de la notion japonaise du mono no aware qui est l’art de voir l’émotion dans les choses et de les transcrire, un art de l’éphémère et une attitude teintée de mélancolie face à cette impermanence.
À travers ma pratique, j’incite le spectateur à contempler la nature non pas comme un objet de possession, mais comme une entité fragile.
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Cette citation de Sylvain Tesson résume ma quête : celle d’un lieu d’harmonie, où l’homme peut se reconnecter à la nature, tout en redécouvrant son propre équilibre intérieur.
Elle résonne avec mon parcours de juriste reconverti en photographe de paysage, où la nature devient un espace de contemplation et de résilience.
Je trouve mon inspiration dans les grands espaces et ma photographie, marquée par une sensibilité intime à l’impermanence des choses, se nourrit de mes errances solitaires à travers des paysages silencieux et majestueux.
Mon travail photographique s’articule autour de la notion japonaise du mono no aware qui est l’art de voir l’émotion dans les choses et de les transcrire, un art de l’éphémère et une attitude teintée de mélancolie face à cette impermanence.
À travers ma pratique, j’incite le spectateur à contempler la nature non pas comme un objet de possession, mais comme une entité fragile.
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Cette citation de Sylvain Tesson résume ma quête : celle d’un lieu d’harmonie, où l’homme peut se reconnecter à la nature, tout en redécouvrant son propre équilibre intérieur.
Elle résonne avec mon parcours de juriste reconverti en photographe de paysage, où la nature devient un espace de contemplation et de résilience.
Je trouve mon inspiration dans les grands espaces et ma photographie, marquée par une sensibilité intime à l’impermanence des choses, se nourrit de mes errances solitaires à travers des paysages silencieux et majestueux.
Mon travail photographique s’articule autour de la notion japonaise du mono no aware qui est l’art de voir l’émotion dans les choses et de les transcrire, un art de l’éphémère et une attitude teintée de mélancolie face à cette impermanence.
À travers ma pratique, j’incite le spectateur à contempler la nature non pas comme un objet de possession, mais comme une entité fragile.
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« La grande aventure de l’existence est de trouver là où l’on est bien »
Cette citation de Sylvain Tesson résume ma quête : celle d’un lieu d’harmonie, où l’homme peut se reconnecter à la nature, tout en redécouvrant son propre équilibre intérieur.
Elle résonne avec mon parcours de juriste reconverti en photographe de paysage, où la nature devient un espace de contemplation et de résilience.
Je trouve mon inspiration dans les grands espaces et ma photographie, marquée par une sensibilité intime à l’impermanence des choses, se nourrit de mes errances solitaires à travers des paysages silencieux et majestueux.
Mon travail photographique s’articule autour de la notion japonaise du mono no aware qui est l’art de voir l’émotion dans les choses et de les transcrire, un art de l’éphémère et une attitude teintée de mélancolie face à cette impermanence.
À travers ma pratique, j’incite le spectateur à contempler la nature non pas comme un objet de possession, mais comme une entité fragile.
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Cette citation de Sylvain Tesson résume ma quête : celle d’un lieu d’harmonie, où l’homme peut se reconnecter à la nature, tout en redécouvrant son propre équilibre intérieur.
Elle résonne avec mon parcours de juriste reconverti en photographe de paysage, où la nature devient un espace de contemplation et de résilience.
Je trouve mon inspiration dans les grands espaces et ma photographie, marquée par une sensibilité intime à l’impermanence des choses, se nourrit de mes errances solitaires à travers des paysages silencieux et majestueux.
Mon travail photographique s’articule autour de la notion japonaise du mono no aware qui est l’art de voir l’émotion dans les choses et de les transcrire, un art de l’éphémère et une attitude teintée de mélancolie face à cette impermanence.
À travers ma pratique, j’incite le spectateur à contempler la nature non pas comme un objet de possession, mais comme une entité fragile.
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Cette citation de Sylvain Tesson résume ma quête : celle d’un lieu d’harmonie, où l’homme peut se reconnecter à la nature, tout en redécouvrant son propre équilibre intérieur.
Elle résonne avec mon parcours de juriste reconverti en photographe de paysage, où la nature devient un espace de contemplation et de résilience.
Je trouve mon inspiration dans les grands espaces et ma photographie, marquée par une sensibilité intime à l’impermanence des choses, se nourrit de mes errances solitaires à travers des paysages silencieux et majestueux.
Mon travail photographique s’articule autour de la notion japonaise du mono no aware qui est l’art de voir l’émotion dans les choses et de les transcrire, un art de l’éphémère et une attitude teintée de mélancolie face à cette impermanence.
À travers ma pratique, j’incite le spectateur à contempler la nature non pas comme un objet de possession, mais comme une entité fragile.
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Cette citation de Sylvain Tesson résume ma quête : celle d’un lieu d’harmonie, où l’homme peut se reconnecter à la nature, tout en redécouvrant son propre équilibre intérieur.
Elle résonne avec mon parcours de juriste reconverti en photographe de paysage, où la nature devient un espace de contemplation et de résilience.
Je trouve mon inspiration dans les grands espaces et ma photographie, marquée par une sensibilité intime à l’impermanence des choses, se nourrit de mes errances solitaires à travers des paysages silencieux et majestueux.
Mon travail photographique s’articule autour de la notion japonaise du mono no aware qui est l’art de voir l’émotion dans les choses et de les transcrire, un art de l’éphémère et une attitude teintée de mélancolie face à cette impermanence.
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