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Tous les cinq ans, une nouvelle équipe décanale, composée de vice-doyen.ne.s et de chargé.es de mission est nommée par le ou la Doyen.ne pour le ou la représenter dans le cadre de missions définies. Chaque année, un.e Vice-Doyen.ne étudiant.e est nommé.e par ses pairs élus au Conseil de Gestion pour les représenter auprès de l’équipe décanale. Après Florian Mary et Théo Lacoste, c’est donc Paul-Arthur Valet qui prend la fonction de Vice-Doyen étudiant et président d’Ademmoos.  Retrouvez ici son interview : découvrez son parcours et les projets qu’il souhaite mettre en place dans le cadre de sa mission !

Bonjour Paul-Arthur, pour celles et ceux qui ne te connaîtraient pas, peux-tu te présenter ?

Bonjour, je m’appelle Paul-Arthur VALET, j’ai 21 ans et je suis en 4e année de médecine à Nîmes, c’est la première fois que le vice-doyen est issu du site nîmois. Par ailleurs, je suis élu étudiant en conseil de gestion et président de l’ADEMMOOS (l’association des élus étudiants de toutes les filières). Bien que ma future spécialité soit changeante de stage en stage, j’ai en tête d’être chirurgien.

 

Tu as été choisi parmi les adhérents d’ADEMMOOS pour être Vice-Doyen étudiant, faisant ainsi suite à Théo Lacoste. Comment s’est déroulée cette passation ?

La passation s’est bien déroulée, cela étant dit le début de mandat a été un peu particulier notamment avec la situation au national. Il a fallu organiser une mobilisation, en concertation avec le SILR, l’ACM et la CCC, que je remercie pour leur aide. La mobilisation a réuni 400 étudiant·e·s, ce qui est historique à Montpellier-Nîmes. Suivi de la révélation de nos enquêtes VSS et santé mentale des étudiant·e·s, qui est le point de départ d’un changement de paradigme que l’on commence à apercevoir.

 

 Qu’est-ce qui t’as donné envie de t’engager dans cette fonction ?

Depuis ma deuxième année je suis membre de l’ADEMMOOS, d’abord VP Com’ puis trésorier et enfin président/VDE. J’ai toujours porté un fort intérêt pour la représentation, être en lien direct avec les étudiant·e·s, pouvoir les aider. Par ailleurs, être en lien avec l’équipe décanale est très enrichissant, surtout au sein d’une équipe bienveillante et à l’écoute.

Comment vas-tu concilier tes activités de vice-doyen à tes obligations d’étudiant ?

Cela est, disons-le, relativement complexe mais je le savais en acceptant ces responsabilités. Il faut donc être particulièrement organisé, mais ces postes (président et
VDE) sont tellement passionnants. Pour réussir à tout concilier il faut savoir déléguer, je tiens donc à remercier le bureau de l’association et plus particulièrement la vice-présidente générale, Soukaina MOUH MOUH élue au conseil pédagogique qui fait un travail de l’ombre, mais ô combien essentiel.

 

Quels sont tes objectifs et tes priorités pour ce mandat ? Souhaites-tu reprendre la suite du projet « Bien-Etre » étudiant initié par ton prédécesseur ?

Concernant le projet « Bien-Être », nous avons au sein du bureau 2 vice-présidents, Emma PETON & Florent BENOIST, en qui j’ai toute confiance pour remplir la mission qui leur a été
confiée. Qui ont déjà organisé des stands pour le mois sans tabac ou encore le Noël solidaire qui a pour objectif de mettre en relation les étudiant·e·s de l’UFR médecine Montpellier-Nîmes souhaitant se réunir pour un repas de Noël.
Par ailleurs je crois beaucoup au travail inter associatif, les associations étudiantes donnent de la vie à notre campus, elles jouent un rôle structurel sur les deux sites de notre faculté. À titre personnel, ma priorité est la lutte contre les VSS, et permettre aux victimes de parler.

 

Quelles actions souhaites-tu mettre en place pour les étudiants ?

Au delà de continuer les projets déjà existants comme l’édition des guides de rentrée, le Forum du Futur Interne … J’aimerais relancer certains projets qui ont dû s’arrêter avec le
Covid, comme les cafés reprez’, qui étaient des moments d’échanges avec les administratrices de l’ANEMF et vos élu·e·s au local. Globalement je pense que la représentation nationale est fondamentale, au même titre que celle au local, pour cela nous avons 2 membres allouées à cette tâche, à savoir pour Montpellier Zoé DOLADILLE (ADEMMOOS) et Rémi BOURGAUX (ACM) et pour Nîmes Manon VALETTE (ADEMMOOS) et Elise DE LOTH (CCC).

 

Un mot pour conclure ?

Le sujet qui me tient particulièrement à coeur est celui des violences sexistes et sexuelles (VSS). Ce que je souhaite c’est une libération de la parole, afin de briser l’omerta qui
empêche les victimes de s’exprimer.
Grâce à nos enquêtes et aux réponses facultaires, les langues commencent à se délier, il ne tient qu’à nous de ne pas trahir le courage que les victimes ont eu de prendre la parole.

“La honte doit changer de camp.”

Chaque année, les étudiants choisissent un élu pour les représenter au niveau de l’équipe décanale. Cette année, c’est Théo Lacoste, étudiant en 4e année de médecine sur le campus ADV qui a été choisi pour vous représenter. Apprenez-en un peu plus sur lui et les actions d’Ademmoos à travers cette interview ! Portrait.

Bonjour Théo, tout d’abord, qui es-tu ? Peux-tu te présenter ?

Je m’appelle Théo Lacoste, je suis étudiant en 4e année de Médecine sur le campus ADV. Je suis aussi élu étudiant en conseil pédagogique, président d’Ademmoos (élus étudiants toutes filières). Je me destine à la profession de médecin bien sûr, mais je n’ai pas forcément de spécialité précise en tête, si ce n’est me spécialiser quelque chose de transversal comme la médecine d’urgence. Mais je ne suis pas fermé, je pense qu’il faut passer par plusieurs terrains de stage pour s’assurer de son avenir !

Tu es président d’Ademmoos : peux-tu nous rappeler le rôle de cette association ?

Il faut rappeler que sur notre Faculté, il y a plusieurs sites, plusieurs filières. Le pouvoir de représentation des étudiants dans les différents conseils est donc assuré par des élus étudiants. Ce travail est très conséquent. Nous avons donc décidé en 2016 de créer cette association pour libérer les étudiants élus du travail de fond (notamment tout ce qui est communication, infographies, etc.) mais également pour élaborer des projets avec d’autres associations étudiantes. L’objectif est vraiment de rassembler, de fédérer, de coordonner les associations et à travers elles, les étudiants.

Les membres de l’association sont constitués des étudiants élus aux différents conseils représentatifs, mais nous avons également des membres non-élus. Ils amènent souvent des réflexions très intéressantes avec un angle de vue différent lors de nos réunions mensuelles.

Peux-tu nous donner des exemples de projets coordonnés par Ademmoos et d’autres associations ?

Oui, par exemple la MAP (Montpellier Artistic Project) qui est une association centrée sur les Arts. Nous avons avec eux organisé un atelier d’Art-Thérapie, en présence d’un professionnel du métier, pour les étudiants, dans l’objectif de lutter contre le stress des études. Mais les projets que nous menons / coordonnons peuvent également se faire en dehors de nos associations. Je pense particulièrement au défi “Dry January(cf post instagram ci-dessous) que nous avons mené en collaboration avec l’ICM dernièrement, ou encore au “Mois Sans Tabac”.

 

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Plus que le président d’Ademmoos, tu es aujourd’hui Vice-Doyen étudiant. Peux-tu nous préciser ton rôle à cette fonction ?

J’ai 3 missions principales : Tout d’abord, une mission académique, très institutionnelle. Je suis en rapport étroit avec l’équipe décanale, notamment la Doyenne Isabelle Laffont, mais également les équipes pédagogiques et administratives pour porter la voix des étudiants. Cela consiste à participer régulièrement à des réunions, mais aussi être à l’écoute de ce qu’il se passe aussi bien au niveau des étudiants qu’au niveau de l’environnement facultaire. Je suis un peu une “navette” pour remonter ou descendre des informations. Ces informations, je les transmets aux élus étudiants qui les diffusent aux différentes filières, aux différents sites ou aux différentes promotions.

La deuxième mission se centre sur l’association Ademmoos. Je dois donner une “ligne de conduite” au niveau de la politique de notre mandat. J’y reviendrai, mais l’idée est de répartir les sujets d’importance, parmi les 40 étudiants de l’association : certains s’occupent des réformes, d’autres du bien-être ou de la coordination avec les autres associations.

Ma troisième mission est vraiment d’être en lien direct avec les étudiants. Je peux être interpellé à cet effet par les délégués de promotions, mais ce n’est pas suffisant, les infos peuvent se perdre. Alors, je mets un point d’honneur à organiser le plus possible des réunions en présentiel, avec les différentes promotions pour discuter, “prendre la température” et recueillir directement auprès des étudiants leurs besoins et leurs ressentis. Ces infos me sont alors utiles dans le cadre de ma première mission académique afin de porter avec le plus d’exactitude possible la volonté des étudiantes et étudiants.

Quelles sont les priorités de ton mandat ?

Il y a plusieurs champs prioritaires. Tout d’abord un volet un peu plus académique et administratif, qui consiste principalement à poursuivre le travail de mes prédécesseurs : Salomé Duteurtre et Florian Mary. Ils ont tous les deux travaillé sur ce que j’appelle “l’Alliance Pédagogique”. C’est-à-dire, la co-construction de notre parcours de vie étudiant, avec l’ensemble des interlocuteurs : enseignants, étudiants et corps administratif de la Faculté.

Cela paraît simple vu de l’extérieur mais c’est en fait assez complexe, car il faut concilier l’avis de tout le monde ; réussir finalement, à trouver des accords à partir de nos désaccords ! Pour autant, cela se fait avec la bonne volonté de tout le monde, en bonne intelligence. Nous devons travailler ensemble, et regarder les problématiques à résoudre à travers les prismes de chacun, pour que les solutions prises soient bénéfiques pour tous.tes. Ce devoir de vivre ensemble, il est véritablement primordial, et on le répète régulièrement à toute l’équipe, notamment plus récemment aux nouveaux élus étudiants du conseil de gestion et du conseil pédagogique.

Ensuite, il y a toutes les réflexions autour du bien-être étudiant. C’est quelque chose qui est assez nouveau, dont on ne parlait pas trop il y a quelques années et qui a été révélé au grand jour par la crise sanitaire. Aujourd’hui plus que jamais, ce sujet est devenu notre principale priorité.

Mais on ne peut pas agir sans connaître l’ampleur de la problématique ! Nous nous sommes donc donné comme premier objectif de recueillir l’avis ou l’expérience des étudiant.e.s à travers des enquêtes. Nous avons ainsi pu recueillir plus de 1000 réponses à notre premier questionnaire sur la santé mentale, diffusé au cours de l’hiver, – je profite d’ailleurs de cette interview pour remercier les répondants ! – . Les résultats de cette enquête sont en cours de traitement. Par ailleurs, nous avons il y a quelques semaines commencé à diffuser une nouvelle enquête, concernant les violences sexistes et sexuelles que peuvent subir les étudiants à la faculté, en soirée ou sur leur lieu de travail/stage afin de délimiter les contours du problème et ainsi entrevoir des actions correctives pour limiter les incidents voire sanctionner le cas échéant.

En pratique, mettez-vous des actions en place pour favoriser le bien-être des étudiants ?

Oui, d’un point de vue pratico-pratique, nous avons créé cette année un pôle bien-être avec deux chargés de missions qui sont étudiants en médecine (Ulysse Godin et Maribelle Dossou-Yovo). Ils ont pour mission d’organiser des événements de sensibilisation. Par exemple, il y a eu la conférence sur les addictions avec le Pr Hélène Donnadieu-Rigole, le Mois Sans Tabac, le Dry January… En mars, nous aurons une conférence sur les risques psycho-sociaux et le “workaholism”. Ces événements sont assez appréciés des étudiants.

Il y a également d’autres projets pratiques en dehors de la thématique “bien-être” comme le Forum du Futur Interne, qui est piloté par l’ex-Vice-Doyen Florian Mary, qui a pour objectif de mettre en relation les étudiants de 5e et 6e année avec des internes afin de partager leur expérience.

Qu’est-ce-qui t’a motivé à prendre ce rôle d’élu et de Vice-Doyen ?

La motivation m’est venue à mesure de mes engagements précédents, à la fois au niveau d’Ademmoos mais aussi au niveau de l’ANEMF (Association Nationale des Etudiants en Médecine de France), car l’an passé, j’étais très impliqué dans les sujets autour de la R2C (réforme du deuxième cycle des études médicales) sur le plan national. Ceci m’a donné envie de m’engager encore plus fortement au niveau local, sur les problématiques qu’on rencontre au quotidien.

Bien sûr, les discussions avec mes prédécesseurs m’ont également fortement influencé. Tout s’est fait ensuite très naturellement, l’envie d’aider les promotions me guidant dans mes choix. J’avais envie de voir mes études sous un autre angle.

Après, oui c’est très chronophage. C’est parfois un peu dur de tout concilier ! Il est donc important de bien s’entourer de savoir déléguer. A cet égard, je souhaite remercier particulièrement Florent Benoist, qui est VP Général d’Ademmoos et représentant au Conseil Pédagogique et qui m’aide vraiment beaucoup et me permet de bien m’organiser.

Comment est-on élu Vice-Doyen ?

Le Vice-Doyen est proposé par les élus étudiants au Conseil de Gestion. Il fait bien souvent partie de la liste des étudiants élus. Le Conseil vote ensuite en faveur ou en défaveur de l’étudiant proposé. Cette proposition fait l’objet de discussions préalables en interne au sein d’Ademmoos. Une fois élu, le Vice-Doyen est en place pour 2 ans, mais bien souvent, nous démissionnons au bout d’un an pour pouvoir bien se consacrer à nos études.

Merci beaucoup pour cet échange : as-tu un mot de la fin ?

Oui, à propos de l’une des priorités de mon mandat, sur le bien-être. Je voudrais faire passer le message suivant : on a le droit de ne pas aller bien. Les étudiants en santé sont issus d’un système très sélectif, où il faut être toujours le meilleur. Culturellement, c’est donc compliqué pour nous de dire quand ça ne va pas, on a tendance à taire nos faiblesses. Pour autant, il n’est pas anormal de se sentir mal ! Il y a des dispositifs d’aide que l’on peut retrouver sur le site web de la Faculté. Il faut briser le silence sur ce tabou et s’emparer des dispositifs mis au point conjointement par les étudiants et la faculté pour se sentir mieux. Seul on va plus vite, mais ensemble, on va plus loin !

Chaque année, un nouveau Vice-Doyen est élu par les étudiants pour les représenter auprès du Doyen et dans les différentes instances de la Faculté (conseil de gestion, conseil pédagogique…). Cette année, c’est Florian qui succède à Salomé. Retrouvez ici son interview : découvrez son profil, son rôle pour les étudiants et les projets qu’il souhaite mettre en place tout au long de cette année universitaire ! Rencontre.

 

Bonjour Florian ! Vous avez récemment été élu Vice-Doyen des étudiants de la Faculté de Médecine Montpellier-Nîmes. Pouvez-vous nous en dire plus sur vous ?

Bonjour ! Alors je m’appelle Florian Mary, je suis actuellement en 4e année de médecine à Montpellier et je suis originaire de Perpignan (Allez l’USAP ! 🟡🔴). 

Brièvement, vous savez, je ne pense pas qu’il y ait de bonnes ou de mauvaises situations, mais je pense que comme beaucoup, je ne suis pas encore fixé sur ma future situation, j’ai plusieurs idées de spécialité en tête dont la Médecine Générale. 

 

Vous êtes désormais Vice-Doyen étudiant : en quoi consiste votre rôle ?

Il faut savoir que le VDE est avant tout un élu étudiant, et comme tout élu, mon mandat s’étalera sur 2 ans. 

Notre tâche commune est donc de représenter les étudiants auprès des instances pédagogiques et administratives de la faculté (de l’UFR pour être précis) que ce soit durant les conseils ou commissions.

Néanmoins, pendant 1 an, je serai en charge des missions spécifiques aux VDE qui sont notamment d’être l’interlocuteur principal du Doyen et des représentants facultaires pour toutes les questions touchant aux étudiants, et de gérer l’équipe des élus et d’ADEMMOOS afin d’être le plus efficaces possibles dans les différents dossiers à gérer et le développement de l’association.

De plus, la communication avec les autres associations et filières de la faculté est primordiale, que ça soit en lien avec une idée de projet, la représentation étudiante ou la médiation de certains échanges. Je pense que ces liens nous offrent de nouvelles perspectives de réflexions et nous permettent de se tirer vers le haut mutuellement. 

Qu’est-ce qui vous a motivé à prendre ce rôle ? Est-ce un engagement que vous souhaitiez prendre dès le début de vos études ?

Avant mon mandat d’élu et de VDE, j’avais déjà baigné 2 ans dans le milieu associatif, d’abord en tant que tuteur, puis en tant que VP Représentation à la Corpo Médecine de Montpellier avec ce désir d’être là pour aider les étudiants. 

Et je dois dire que l’expérience et les rencontres faites durant cette année à l’ACM, que ce soit toutes les personnes de ma corpo, les « vieux » VP Reprez et Salomé bien sûr, n’y sont pas pour rien. 

J’étais curieux et j’ai trouvé que ce poste était une superbe opportunité pour continuer à m’investir pour les étudiants et dans la vie de la faculté. 

 

Comment jonglez-vous entre vos activités de Vice-Doyen et vos obligations d’étudiant ? 

Alors ça demande une certaine organisation, et l’année passée m’a particulièrement aidée pour ça, notamment par l’association d’un travail associatif et universitaire très dense. 

Mais je me réserve mes créneaux asso le midi pour me garder mon temps de travail le soir généralement. 

 

Quels sont vos objectifs pour ce mandat ? Quels sont les projets que vous souhaitez mener à bien ?

Alors l’objectif premier, c’est de continuer les projets des précédents bureaux, que ce soit la vaccination contre la Grippe, le Forum des Futurs Internes… 

Cette année, on dispose d’un savant cocktail d’expérience et de nouvelles idées, et ça se voit à travers les projets. 

On souhaite booster la communication sur la même lancée que l’année dernière, notamment avec l’Instagram d’ADEMMOOS (👉 go follow si ce n’est pas déjà fait) mais aussi en restant dynamique sur les autres réseaux. 

Les réformes sont bien sûr au centre de nos mandats, et le bien être et le développement durable sont aussi des pôles dans lesquels des idées naissent. 

 

Quelles sont les demandes des étudiant.e.s qui reviennent le plus souvent ?

Généralement, c’est installer une tireuse à bière à la cafet’ 🙃. 

Plus sérieusement, ce sont surtout des questions autour de l’organisation de nos études et des propositions de changements nécessitant une réflexion avec la scolarité et les enseignants. 

Les élus sont le relais des étudiants afin de faire entendre leur voix, et c’est ce que l’on retrouve dans une grande partie des messages. 

 

La situation sanitaire a un fort impact sur la vie actuelle des étudiants. Avez-vous un message à faire passer à cette occasion ?

Je pense qu’avec la période que nous traversons, il est important de prendre soin de soi et des autres. 

Contactez vos familles et vos amis, échangez, discutez, parlez avec eux, mais ne restez pas seuls, et si besoin, vous pouvez vous tourner vers nous, il y aura toujours quelqu’un pour répondre. 

Et profitez en pour regarder les classiques du cinéma, plus d’excuses pour passer à côté de La Ligne Verte ou Forrest Gump 🍿. 

 

Si les étudiants ont des questions à vous poser ou à remonter au conseil de gestion, comment peuvent-ils vous contacter ?

C’est très simple, via les comptes Facebook, Instagram et Twitter d’ADEMMOOS, ou par les mails 📩 pour les puristes à ademmos.elus.etudiants@gmail.com

Ou ils peuvent aussi venir nous parler, on est tous très gentils et on ne mord pas !

 

Un dernier mot, que conseillerez-vous aux étudiants qui souhaiteraient devenir Vice-Doyen.ne ? Comment peuvent-ils y parvenir et quelles sont selon vous les qualités indispensables à cette fonction ?

Alors, je pense déjà que connaître le milieu associatif, quel qu’il soit, peut aider et vous offrira un bagage supplémentaire pour le poste, et vous permettra d’engranger de l’expérience. 

Ensuite, il faut être conscient du travail que ça représente et de l’importance du poste, mais aucune crainte, une bonne organisation et une volonté de bien faire feront la différence en votre faveur. 

Enfin, vous n’êtes pas seul, et être VDE c’est surtout faire partie d’un bureau. 

Avoir une bonne équipe comme celle à laquelle j’appartiens est donc primordial pour passer le meilleur mandat possible ! 

 

Merci beaucoup pour votre temps ! Nous vous souhaitons de passer un bon mandat et vous remercions pour votre engagement !