Archive d’étiquettes pour : bien-être

Tous les cinq ans, une nouvelle équipe décanale, composée de vice-doyen.ne.s et de chargé.es de mission est nommée par le ou la Doyen.ne pour le ou la représenter dans le cadre de missions définies. Cette année, Pr Émilie Olié a été nommée Chargée de mission Bien-être étudiant.e.s. Retrouvez ici son interview : découvrez son parcours et les projets qu’elle souhaite mettre en place dans le cadre de sa mission !

 

Vous avez été nommée par la Doyenne Mme Isabelle Laffont à la fonction de Chargée de Mission bien-être étudiant, pouvez-vous nous présenter votre parcours ainsi que votre spécialité ?

Je suis psychiatre avec une spécialisation autour des troubles de l’humeur et des conduites suicidaires. Ayant fait mes études de médecine à Paris, j’ai réalisé par la suite mon internat ainsi que mon clinicat de psychiatrie à Montpellier.

En ce qui concerne mon parcours, j’ai développé il y a quelques années un réel intérêt autour du bien être des étudiants. Nous avons mis en place un projet autour de séances de psychothérapie afin de prévenir le burnout des étudiants en médecine. Dans ce cadre M. le Doyen Mondain m’avait chargé d’être référente de l’ancien CNA (Conseil National d’Appui) pour la qualité de vie des étudiants santé, ce qui a été reconduit par Mme la Doyenne avec le nouveau CNA-ES, le poste de chargée de mission est arrivé par la suite.

 

Comment comptez-vous concilier vos activités de chargée de mission et vos autres obligations professionnelles ?

Je pense que mes activités de chargée de mission et mes obligations professionnelles sont assez complémentaires. Dans le cadre de ma spécialité je suis sollicitée pour orienter ou même accompagner des étudiants – qui sont en difficulté psychologique. Je compte mettre à profit mes compétences au profit du bien être étudiant.

 

Vous êtes chargée de mission du bien-être étudiant, quel seront vos contributions et vos objectifs ? Quels sont les projets que vous souhaitez mener à bien ?

Le premier champ d’action concerne la santé psychologique : renforcer le soutien psychologique au sein de la Fac que cela soit au niveau de l’écoute ou de l’orientation,  faire mieux connaitre les dispositifs d’aide en place, mettre en place des actions de formation pour les étudiants et personnels administratifs permettant le repérage et l’orientation des personnes en difficulté.

Le second champ d’action concerne la mise en place d’actions pour lutter contre les VSS (Violences sexistes et sexuelles).

 

Qu’est-ce qui vous a motivée à accepter cette nomination ?

Premièrement parce que c’est une belle cause, nous avons envie que les étudiants s’épanouissent dans la Faculté et de faire en sorte que les études soient synonymes de moments positifs. Deuxièmement par le fait que cette nomination de chargée de mission du bien être étudiant rejoint parfaitement ma spécialité visant à améliorer le quotidien de personnes en souffrance.

 

Alors que les débats sur la santé mentale des étudiants ont ressurgi suite à la crise sanitaire et à l’heure de la réforme du 2e cycle, nos équipes pédagogiques ont développé, en collaboration avec les étudiants et des usagers, un concept pédagogique unique en son genre. Nommé temporairement “UE Savoir-Être et communication thérapeutique”, ce programme d’enseignement tourné vers l’empathie constitue une véritable innovation éthique et pédagogique. Afin d’en savoir plus, nous nous sommes tournés vers les porteurs de ce projet : Dr Amandine Luquiens et Pr Céline Bourgier ainsi que vers Théo Lacoste, étudiant membre du comité de pilotage.

 

Génèse d’un projet centré sur l’empathie

Un besoin d’évaluation né des modalités d’évaluation de la R2C

En 2018, le projet de réforme du second cycle des études médicales (R2C) arrive dans les mains des différents responsables pédagogiques de la Faculté et interpelle le Pr Céline Bourgier. En effet, celle-ci constate que les modalités d’évaluation des étudiants suite à la R2C porteront entre autres sur l’évaluation du savoir-être et de l’empathie des étudiants, au travers du certificat de compétences cliniques (C3). Or, à ce moment-là, aucun enseignement entièrement dédié au développement de cette compétence n’existe dans notre offre de formation. 

Rejointe en 2019 par Dr Amandine Luquiens, psychiatre-addictologue au CHU de Nîmes, les deux médecins vont donc s’associer pour piloter le projet de développement d’une unité d’enseignement novatrice, à même de répondre aux exigences de la R2C. Leur première piste est d’étudier le niveau actuel d’empathie des étudiants en médecine.

 

Un constat interpellant : l’empathie des étudiants en médecine décline au fil de leurs études

Leurs premiers constats sont surprenants. En effet les deux praticiennes, découvrent au gré de leurs recherches bibliographiques que les étudiants en médecine ont tendance à subir un déclin de leur empathie tout au long de leurs études. “Ce déclin débute de manière concomitante avec les stages hospitaliers. Il semblerait que la différence entre “l’idéalisation du métier de soignant” et la “réalité du métier de soignant” soit un facteur déclenchant” – explique Amandine Luquiens

Autre observation : ce déclin est très fortement corrélé aux problèmes de burn-out et de dépression que peuvent rencontrer les étudiants en santé.

 

Un enseignement structuré pour enrayer ce déclin et prévenir une meilleure qualité des soins futurs

Ces constats motivent les porteuses de projet à créer une nouvelle unité d’enseignement (UE) innovante, portée par un objectif double : 

  • Donner aux étudiants les outils et les compétences nécessaires à l’augmentation de la qualité des soins, en leur inculquant une approche centrée sur la personne et non pas seulement sur les symptômes / pathologies
  • Prévenir les risques psycho-sociaux, pour les patients, mais aussi pour les étudiants, futurs professionnels de santé.

Ces deux éléments complémentaires seront dès lors co-développés par un comité dédié, composé d’enseignants, d’étudiants et d’usagers.

 

Une UE co-construite pour l’acquisition de compétences autour de l’empathie envers soi-même et envers les patients

Étapes de la construction de l’UE

Une telle UE nécessite une période de création puis d’expérimentation qui se concrétisera au sein de la Faculté en 5 grandes étapes : 

  • ÉTAPE 1

    Création d’un comité de pilotage transverse

    S’agissant d’une UE créée de manière collaborative, les enseignantes ont eu à cœur de créer un comité de pilotage intégrant les étudiants afin que l’UE leur soit adaptée le mieux possible. Le comité est par ailleurs soutenu par le Conseil Pédagogique de la Faculté (présidé alors par Pr Denis Morin) et est composé d’enseignants de différents horizons ou de différentes spécialités afin d’avoir une vision globale du projet.

  • ÉTAPE 2

    Recensement de l’existant et élargissement du comité de pilotage

    À l’aide des personnels administratifs de scolarité, Amandine Luquiens et Céline Bourgier recensent les UE et enseignements existants au sein de l’offre de formation, mettant l’accent sur la relation patient-médecin, la construction de la relation de soin et le savoir-être. Ceci leur permet d’entrer en contact avec les enseignants porteurs des enseignements existants et de les intégrer au comité de pilotage de la nouvelle UE.

    ÉTAPE 2

  • ÉTAPE 3

    Remaniement des enseignements existants, développement de l’UE

    Le comité de pilotage propose une nouvelle organisation des enseignements existants sur une durée de 5 ans. Ceci, en les remaniant dans un ordre plus logique, avec une mise en œuvre plus progressive et congruente avec l’entrée des étudiants en stage hospitalier. En parallèle du remaniement de l’existant, de nouveaux enseignements sont proposés pour compléter l’offre de formation comme le module de communication thérapeutique, découpé en 3 niveaux progressifs et dans lequel sera intégré l’atelier-théâtre pré-existant.

  • ÉTAPE 4

    Intégration de l’UE dans le programme d’une promotion pilote

    La promotion DFGSM2 2021-22 est la promotion pilote et inaugure l’ensemble des enseignements de l’UE sur les 5 années. Quelques modules sont par ailleurs proposés aux DFGSM3 afin de tester les enseignements (étape 6) 

    ÉTAPE 4

  • ÉTAPE 5

    Suivi d’une cohorte d’étudiants afin d’évaluer l’enseignement

    Afin de mesurer l’impact de l’enseignement sur les étudiants, 3 promotions sont évaluées régulièrement sur des critères liés à l’empathie, mais aussi au bien-être, ou encore à la conception de la relation de soin. La promo DFGSM2 21-22 sera comparée à la DFGSM3 21-22 qui aura bénéficié d’un enseignement allégée, à la promotion DFASM1 21-22 qui, elle, n’aura pas pu bénéficier des différents modules de l’UE.

 

Une UE structurée pour faciliter l’acculturation des étudiants au sujet de la gestion des émotions

Comme le rappelle Théo Lacoste, Vice-Doyen étudiant 21-22, les étudiants en médecine sont “perfectionnistes” : “Ils sont sélectionnés car ce sont les meilleurs. Et ce mode de sélection se poursuit au cours des années. Le besoin d’être ou du moins de paraître “infaillible” à tous les niveaux – que ce soit professionnellement ou émotionnellement –  continue jusqu’à devenir une composante presque culturelle de notre façon de penser.” 

Or, c’est précisément une acculturation sur ce sujet que doit susciter cette UE : Amandine Luquiens le précise : “Nous recherchons une acculturation des étudiants, voire même, de la Faculté dans son ensemble. La Faculté prend soin de ses étudiants et les étudiants doivent prendre soin d’eux. Nous allons ainsi les aider à se saisir d’outils qui vont de pair à la fois pour se protéger mais aussi pour enrayer la “suppression émotionnelle” ; une stratégie de gestion utilisée depuis de nombreuses années par les médecins pour appréhender la relation patient-soignant.”

 Pour parvenir à cet objectif, l’UE est structurée autour de 4 grands modules, tous obligatoires : 

  • Initiation à la méditation de pleine conscience
  • Echanges de pratiques entre pairs : ce module permet de libérer la parole mais également de mieux appréhender la communication professionnelle au sein d’une équipe de soignants
  • Communication thérapeutique : un module sur plusieurs années avec des enseignements théoriques sur les annonces, l’intégration de l’atelier-théâtre et des ateliers de simulation.
  • Stigmatisation dans les soins : un module avec l’intervention d’usagers qui témoignent devant les étudiants de situations qu’ils ont pu vivre au cours de leur parcours de soin

 

En résumé : une initiative innovante, à plus d’un titre

L’humanisme est une valeur cœur de la Faculté. Elle est partie intégrante de son histoire, mais elle constitue également une valeur porteuse pour son avenir, comme en témoigne ce programme innovant, à plus d’un titre. En effet, il s’agit là d’une innovation éthique et pédagogique

  • co-créée avec les étudiants, les équipes pédagogiques, les usagers et les personnels administratifs : un véritable exemple de collaboration transversale entre les femmes et les hommes de notre communauté 
  • qui s’intéresse à une véritable problématique sociale et sociétale des étudiants en santé et qui intervient suffisamment tôt dans leur cursus pour l’anticiper et suffisamment longtemps pour la traiter en profondeur
  • qui intègre des modules théoriques mais aussi et surtout des modules très pratiques, centrée sur une approche humaine de la relation patient-soignant, notamment au travers d’ateliers de simulation
  • créatrice de compétences clés autour de l’empathie et du savoir-être : des outils indispensables pour une médecine plus humaine
  • porteuse d’un message à la fois pour les étudiants mais aussi pour leurs futurs patients

 

Des perspectives ouvertes sur les autres cursus

La mise en place de cette UE sur le cursus médecine pose inévitablement la question des autres filières portées par la faculté (maïeutique, paramédical). “La médecine est relativement en retard par rapport aux autres cursus”, concède Dr Luquiens. “En effet, il existe déjà des UE dans les autres cursus, mais pas de manière aussi structurée dans le temps. L’idée est donc, une fois cette UE fiabilisée “d’essaimer” sur les autres filières, dans une volonté d’approche transdisciplinaire de ces compétences.”

 

Vous êtes étudiant.e.s en PASS ou en LAS ? Découvrez la Pep’s Week organisée par votre super asso du Tutorat Santé Montpellier ! Dates, programme et inscription, retrouvez toutes les infos utiles dans cet article !

 

Une semaine de bien-être pour les étudiants en PASS et en LAS

Afin de clôturer les examens de ce premier semestre et dans l’optique d’une meilleure appréhension du second, l’Association du Tutorat de Santé de Montpellier (ATSM) organise, pour les étudiants de PASS et de LAS, l’édition 2022 de la Pep’s Week !

Lauréate du Trophée des Initiatives Étudiantes de Montpellier en 2018-2020 et fortement appréciée des étudiants la Semaine Pep’s est un projet qui nous tient fortement à cœur et que nous espérons renouveler cette année sous le nom de « Pep’s Week ».

Cette semaine est dédiée au bien-être et à la détente des PASS et des LAS. Pour cela l’ATSM mène de nombreuses activités en partenariat avec des étudiants de différentes filières afin d’accompagner au mieux les « première année » en leurs apportant un soutien psychologique et pédagogique. Le développement de ce bien-être est un objectif primordial, devenu indispensable depuis le début de la crise sanitaire.

L’édition 2022, du 24 au 28 janvier

La Pep’s Week se déroulera du 24 au 28 janvier 2022. Durant celle-ci l’ATSM proposera, tous les midis à la Faculté de Médecine de Montpellier, sur le Campus ADV (641 Avenue du Doyen Gaston Giraud), diverses activités impliquant des intervenants qualifiés, des moments d’échange et de partage entre étudiants et tuteurs.

Pour cette nouvelle édition le thème est « le Japon », les participants recevront un Welcome Pack contenant plein de goodies spécifiques en lien avec les partenariats de l’ATSM.

 

Voici le programme détaillé de la semaine :

 

Inscriptions

La Pep’s Week est gratuite mais nécessite une inscription préalable. Pour cela, rien de plus simple ! Il suffit de s’inscrire en cliquant sur le bouton ci-dessous :

 

Nutrition - 5 conseils

En cette période de confinement, les tentations ne manquent pas côté “goûter” et friandises… Craquer avec culpabilité ou résister avec frustration ? Nous avons interrogé pour vous le Pr Ariane Sultan, professeur à la Faculté spécialiste en nutrition et le diététicien Nicolas Sahuc, intervenant à la Faculté. Avec eux, nous avons compilé 5 conseils diététique et nutrition à appliquer durant le confinement… mais pas que !

 

1 / Soyez à l’écoute de votre corps et de ses besoins !

Le confinement bouleverse nos habitudes : nos horaires sont décalés… notre corps aussi ! Parfois, la sensation de faim, n’arrive pas aux moments du traditionnel trio “petit-déjeuner, déjeuner, dîner”. Pas de panique ! Selon Nicolas Sahuc, il faut être très attentif au rythme du corps, rythme qui varie quotidiennement et qui n’est pas forcément calé sur les horaires “sociaux” : Il ne faut pas s’inquiéter de ne pas avoir faim aux “heures de repas” et plutôt manger lorsque l’on a vraiment faim”. Pour cela, il faut être à l’écoute de son corps, des véritables sensations de faim et de satiété. Ce qui ne signifie pas forcément manger 3 repas par jour…” appuie le Professeur Sultan.

Somme toute : pensez rythme biologique et soyez à l’écoute de votre sensation de faim avant même de penser nutrition ! 

 

2 / Ne sélectionnez ou n’écartez aucun aliment : pensez durée de rassasiement ! 

“Au moment de la faim, tous les aliments sont bons pour vous rassasier. Cependant, tous les aliments ne couvrent pas la même durée de satiété”. Le conseil du diététicien est alors de se tourner plutôt vers des aliments qui vont vous rassasier sur la durée : préférez une banane à un cookie pour votre encas, ou mieux, si vous avez vraiment faim, faites un véritable repas équilibré.

 

3 / Ne culpabilisez pas, mais pensez global !

Pour autant, ne culpabilisez pas non plus si vous avez vraiment envie de ce cookie pour le goûter. La clé, c’est de penser nutrition de manière globale : “La nutrition est une question d’équilibre global. Si vous mangez des repas équilibrés, régulièrement et en suivant votre rythme ; il n’y a pas de raison de complexer.” A l’inverse, une nutrition équilibrée n’est pas un “one-shot” : un seul repas équilibré de temps en temps, ça n’est pas suffisant ! Le Professeur Sultan le confirme : L’équilibre alimentaire se dessine plus sur la semaine que sur une simple journée.”

 

4 / Privilégiez des repas équilibrés

“Un repas équilibré va vous rassasier pendant environ 5h tandis qu’un repas déséquilibré ou un grignotage va vous rassasier pour 2h à 2h30 seulement. Il est donc important de composer ses repas avec un panel d’aliments qui vont combler votre faim sur la durée. “Contrairement aux idées reçues, un repas sans pain ni féculent ne va pas vous aider à garder la ligne, puisque vous aurez de nouveau faim 2h après.” Pour un repas équilibré et consistant, il est recommandé d’associer : du pain, des féculents, une source de protéine (viande, poisson, oeuf ou protéine végétale), un produit laitier (yaourt ou fromage), des fruits et légumes pour les fibres et un petit peu de corps gras. Ariane Sultan rappelle que “cette composition doit s’adapter à l’importance de la sensation de faim”. Quant à la variation des repas, le diététicien souligne que “la composition du repas équilibré est toujours la même, il suffit ensuite de varier les aliments selon les goûts !” 

 

Un exemple de repas équilibré : 

  • 1 part de Poulet Basquaise, avec légumes (frais ou surgelés), riz et salade
  • 1 morceau de pain
  • 1 yaourt ou 1 morceau de fromage
  • Quelques fraises

 

Mais n’oubliez pas le conseil du Professeur Sultan qui recommande de bien jauger la sensation de faim : Si la sensation de faim n’est que peu présente, pas besoin de tous ces féculents, ou réduisez leur quantité !”

5 / Des collations riches en glucides pour les périodes de travail intenses

Et parce que nous savons que pour beaucoup, les examens approchent, nous avons demandé au diététicien ses recommandations en ce qui concerne les encas en période de travail intense. Selon lui, “il faut privilégier les aliments riches en glucides comme par exemple les barres de céréales ou les compotes qui sont équilibrées et pratiques. Les galettes suédoises façon “Havreflarn” sont également une bonne alternative : elles n’ont pas trop de sucres ajoutés et sont faciles à cuisiner soi-même.” Néanmoins, notre diététicien le rappelle : “Avant même de penser encas, le plus important reste de savoir gérer son stress ! Des exercices de respiration sont très efficaces pour vous aider.” “Sans oublier l’activité physique !” ajoute le professeur, “Une activité physique est faisable dans toute condition, y compris confiné ! Il faut juste l’adapter et s’adapter !”

 

Bien sûr, on n’allait pas vous laisser comme ça : nous avons sélectionné pour vous quelques recettes de galettes suédoises… : 

Recette 1 Recette 2 Recette 3

…et des applications pour vous aider dans la gestion du stress :

 

Nous reviendrons vers vous dans les prochains jours pour ce qui est de l’activité physique, restez connectés ! Et en attendant : à vos fourneaux 😉 !

 

Les Professionnels de Santé :

Nous les remercions pour leur aide apportée à l’occasion de la rédaction de cet article.

Ariane Sultan

Ariane Sultan

Professeur en Nutrition

Ariane Sultan est professeur en nutrition, au sein de l’équipe nutrition-diabète du CHU de Montpellier, hôpital Lapeyronie. Présidente du CLAN (comité liaison alimentation nutrition) du CHU de Montpellier, elle intervient pour plusieurs cours à la Faculté de Médecine, en nutrition et en diabétologie.

Nicolas Sahuc

Nicolas Sahuc

Diététicien

Nicolas Sahuc est diététicien diplômé depuis 2003, spécialiste des troubles du comportement alimentaire (TCA). Il donne régulièrement des séminaires à destination des internes en médecine de notre Faculté sur les troubles alimentaires ou encore l’obésité de l’enfant.