La 18ème édition de Primavera se tiendra le dimanche 19 mars 2023 au Jardin des Plantes de Montpellier. Des expositions, des conférences et une vente de plantes rares y auront lieu de 10h à 18h.

 

Vente de plantes rares Primavera

1. Une occasion en or d’acquérir une plante d’exception

La vente de plantes rares de Primavera a de quoi ravir les férus de botanique comme les jardiniers du dimanche. Imaginez : pouvoir admirer tous les jours un petit bout du Jardin des Plantes dans votre salon ou votre jardin. Le vert sera la tendance déco du printemps !

 

2. Une journée source de savoir

Jardin des Plantes

Les 3 conférences à ne pas rater :

  • 14h30 : « La nomenclature végétale : des auteurs pré-linnéens au Code de Shenzhen » par Pierre COULOT, pharmacien biologiste, fondateur et
    président de la Société botanique d’Occitanie, spécialiste de la famille des Fabaceae.
  • 15h30 : «Les mystères du labyrinthe» par Andrée LAFON. Passionnée par la littérature, le théâtre et la psychanalyse, elle a été amenée à écrire des livres
    qui font une grande place à la psychologie des profondeurs.
  • 16h30 : « Le projet de restauration de l’Intendance de Pierre Richer de Belleval et son labyrinthe» par le Professeur Thierry LAVABRE-BERTRAND, Directeur du Jardin des Plantes.

 

3. Un mélange entre art et nature

Anne Tassin, artiste céramiste, vous invite à visiter son exposition « Inspiration végétale »

4. Venez découvrir le monument Rabelais, récemment rénové !

Sculpté par Jacques Villeneuve, le monument, dédié à Rabelais et aux plaisirs de la vie, fut inauguré le 6 novembre 1921 par le Président de la République Alexandre Millerand. Le monument fût offert par les étudiants dans le cadre de la célébration des 700 ans de la Faculté de Médecine où Rabelais a étudié en 1530.

L’Université de Montpellier, la Faculté de Médecine Montpellier-Nîmes ainsi que la Fondation d’Entreprises du Jardin des plantes de Montpellier ont contribué à la restauration de ce monument.

5. C’est le printemps !

 

Qui n’aime pas flâner dans les allées du Jardin des Plantes au printemps ? C’est le moment rêvé pour apercevoir la flore luxuriante du jardin reprendre vie après l’hiver. Primavera est une excellente excuse, s’il en faut, pour découvrir ou redécouvrir le Jardin des Plantes de Montpellier.

 

Tous les cinq ans, une nouvelle équipe décanale, composée de vice-doyen.ne.s et de chargé.es de mission est nommée par le ou la Doyen.ne pour le ou la représenter dans le cadre de missions définies. Chaque année, un.e Vice-Doyen.ne étudiant.e est nommé.e par ses pairs élus au Conseil de Gestion pour les représenter auprès de l’équipe décanale. Après Florian Mary et Théo Lacoste, c’est donc Paul-Arthur Valet qui prend la fonction de Vice-Doyen étudiant et président d’Ademmoos.  Retrouvez ici son interview : découvrez son parcours et les projets qu’il souhaite mettre en place dans le cadre de sa mission !

Bonjour Paul-Arthur, pour celles et ceux qui ne te connaîtraient pas, peux-tu te présenter ?

Bonjour, je m’appelle Paul-Arthur VALET, j’ai 21 ans et je suis en 4e année de médecine à Nîmes, c’est la première fois que le vice-doyen est issu du site nîmois. Par ailleurs, je suis élu étudiant en conseil de gestion et président de l’ADEMMOOS (l’association des élus étudiants de toutes les filières). Bien que ma future spécialité soit changeante de stage en stage, j’ai en tête d’être chirurgien.

 

Tu as été choisi parmi les adhérents d’ADEMMOOS pour être Vice-Doyen étudiant, faisant ainsi suite à Théo Lacoste. Comment s’est déroulée cette passation ?

La passation s’est bien déroulée, cela étant dit le début de mandat a été un peu particulier notamment avec la situation au national. Il a fallu organiser une mobilisation, en concertation avec le SILR, l’ACM et la CCC, que je remercie pour leur aide. La mobilisation a réuni 400 étudiant·e·s, ce qui est historique à Montpellier-Nîmes. Suivi de la révélation de nos enquêtes VSS et santé mentale des étudiant·e·s, qui est le point de départ d’un changement de paradigme que l’on commence à apercevoir.

 

 Qu’est-ce qui t’as donné envie de t’engager dans cette fonction ?

Depuis ma deuxième année je suis membre de l’ADEMMOOS, d’abord VP Com’ puis trésorier et enfin président/VDE. J’ai toujours porté un fort intérêt pour la représentation, être en lien direct avec les étudiant·e·s, pouvoir les aider. Par ailleurs, être en lien avec l’équipe décanale est très enrichissant, surtout au sein d’une équipe bienveillante et à l’écoute.

Comment vas-tu concilier tes activités de vice-doyen à tes obligations d’étudiant ?

Cela est, disons-le, relativement complexe mais je le savais en acceptant ces responsabilités. Il faut donc être particulièrement organisé, mais ces postes (président et
VDE) sont tellement passionnants. Pour réussir à tout concilier il faut savoir déléguer, je tiens donc à remercier le bureau de l’association et plus particulièrement la vice-présidente générale, Soukaina MOUH MOUH élue au conseil pédagogique qui fait un travail de l’ombre, mais ô combien essentiel.

 

Quels sont tes objectifs et tes priorités pour ce mandat ? Souhaites-tu reprendre la suite du projet « Bien-Etre » étudiant initié par ton prédécesseur ?

Concernant le projet « Bien-Être », nous avons au sein du bureau 2 vice-présidents, Emma PETON & Florent BENOIST, en qui j’ai toute confiance pour remplir la mission qui leur a été
confiée. Qui ont déjà organisé des stands pour le mois sans tabac ou encore le Noël solidaire qui a pour objectif de mettre en relation les étudiant·e·s de l’UFR médecine Montpellier-Nîmes souhaitant se réunir pour un repas de Noël.
Par ailleurs je crois beaucoup au travail inter associatif, les associations étudiantes donnent de la vie à notre campus, elles jouent un rôle structurel sur les deux sites de notre faculté. À titre personnel, ma priorité est la lutte contre les VSS, et permettre aux victimes de parler.

 

Quelles actions souhaites-tu mettre en place pour les étudiants ?

Au delà de continuer les projets déjà existants comme l’édition des guides de rentrée, le Forum du Futur Interne … J’aimerais relancer certains projets qui ont dû s’arrêter avec le
Covid, comme les cafés reprez’, qui étaient des moments d’échanges avec les administratrices de l’ANEMF et vos élu·e·s au local. Globalement je pense que la représentation nationale est fondamentale, au même titre que celle au local, pour cela nous avons 2 membres allouées à cette tâche, à savoir pour Montpellier Zoé DOLADILLE (ADEMMOOS) et Rémi BOURGAUX (ACM) et pour Nîmes Manon VALETTE (ADEMMOOS) et Elise DE LOTH (CCC).

 

Un mot pour conclure ?

Le sujet qui me tient particulièrement à coeur est celui des violences sexistes et sexuelles (VSS). Ce que je souhaite c’est une libération de la parole, afin de briser l’omerta qui
empêche les victimes de s’exprimer.
Grâce à nos enquêtes et aux réponses facultaires, les langues commencent à se délier, il ne tient qu’à nous de ne pas trahir le courage que les victimes ont eu de prendre la parole.

“La honte doit changer de camp.”

Tous les cinq ans, une nouvelle équipe décanale, composée de vice-doyen.ne.s et de chargé.es de mission est nommée par le ou la Doyen.ne pour le ou la représenter dans le cadre de missions définies. Cette année, le professeur Maurice Hayot a été nommé Chargé de mission numérique en santé et innovation des enseignements numériques .
Retrouvez ici son interview : découvrez son parcours et les projets qu’il souhaite mettre en place dans le cadre de sa mission !

 

Vous avez été nommé « Chargé de mission numérique en santé et innovation des enseignements numériques » par la Doyenne Pr. Isabelle Laffont, pouvez-vous nous présenter votre parcours ainsi que votre spécialité ?

Je suis médecin, physiologiste pour ma discipline universitaire, et pneumologue pour ma spécialité médicale. Je suis également chef de service du Service de Physiologie Clinique du CHU de Montpellier qui comporte trois équipes médicales d’explorations fonctionnelles, respiratoires, métaboliques et pédiatrique.
Les principales missions des médecins physiologistes résident dans l’exploration clinique et la recherche des grandes fonctions de l’organisme ainsi que l’accompagnement personnalisé des patients, notamment par la réadaptation. Les outils numériques sont venus enrichir notre pratique ces dernières années.

Dans le domaine de la santé numérique, j’ai contribué depuis une dizaine d’années à créer et à codiriger plusieurs formations dans le cadre « TIC et Santé Montpellier » (« TIC » pour « technologies de l’information et de la Communication ») notamment :

  • le Master « STIC pour la Santé » qui a évolué vers « Sciences et Numérique pour la Santé »,
  • le DIU national de Télémédecine réunissant 7 université en France.

Comment comptez-vous concilier vos activités de chargé de mission et vos autres obligations professionnelles ?

Le domaine du numérique en santé est devenu un axe fort dans mes activités et c’est naturellement que je le poursuivrai dans cette mission. Je ferai le lien entre les différents acteurs de l’Université de Montpellier et ses partenaires impliqués dans la santé numérique avec notre faculté, ses étudiants et ses enseignants.

 

Quels seront vos contributions et vos objectifs ? Quels sont les projets que vous souhaitez mener à bien dans votre fonction ?

L’enjeu actuel est de donner à tous les professionnels de santé et du médico-social un socle de compétences en matière santé numérique sur différents aspects qui les concerneront au quotidien dans leur pratique professionnelle :

  • données de santé, cybersécurité en santé,
  • télésanté (télémédecine et télésoin),
  • e-santé et outils numériques,
  • modalités de communication entre patients et soignants ou soignants entre eux.

Les autres professions qui ne sont pas de la santé doivent aussi être formés ; le niveau Master semble le plus adapté en formation initiale mais une forte place est à accorder à la formation continue ou par apprentissage.

C’est en créant une dynamique forte dans notre faculté et au sein de l’Université de Montpellier, en m’appuyant sur les fortes expertises que nous réunissions dans les différentes composantes, que je compte mener ma mission. Ainsi, le projet phare est de créer « l’Ecole de Santé Numérique de l’Université de Montpellier » avec des partenaires activement impliqués.

 

Qu’est-ce qui vous a motivé à accepter cette nomination ?

La thématique, qui semble nouvelle pour certains, a toujours été fortement soutenue au niveau de la présidence de l’Université de Montpellier mais aussi par les doyens qui se sont succédés depuis un dizaine d’année.
Madame la Doyenne Laffont m’a accordé de longue date une écoute attentive et encourageante dans ce domaine, avant même d’avoir occupé cette fonction. Le travail bienveillant en équipe pour innover en pédagogie est un moteur puissant !

 

Nous parlons bien souvent des initiatives de nos étudiants en début de cursus, mais celles de nos internes sont tout aussi passionnantes ! C’est le cas des projets portés récemment par nos internes de médecine générale. Dans le cadre de travaux liés à leurs thèses, 6 internes ont développé des sites web originaux, dédiés à leurs pairs et aux professionnels de santé en exercice. Pour en savoir plus sur ces travaux, nous nous sommes rapprochés du Dr Marie-Catherine REBOUL, professeure associée au Département Universitaire de Médecine Générale (DUMG) , directrice de thèse de ces internes.

Des projets nés autour de travaux de thèses d’exercice en médecine générale

C’est après 6 années d’études que nos étudiants en médecine deviennent internes. Ceux-ci sont alors amenés à choisir une spécialité en fonction de leurs résultats aux examens et de leurs affinités. À Montpellier, la Médecine Générale a la part belle avec près de 150 nouveaux internes chaque année, rassemblés au sein de notre Département Universitaire de Médecine Générale.

Pour recevoir le titre de docteur en médecine, les internes doivent entre autres présenter une thèse d’exercice, au terme de près de 9 années d’études. C’est dans le cadre de cette thèse, que le Dr Marie-Catherine REBOUL, a initié il y a quelques années auprès des internes dont elle assure l’encadrement, ce projet original de création d’un bouquet de sites web à destination des professionnels de santé.

 

Des sites créés sur le principe de la démarche scientifique

« C’est un projet que j’ai voulu ancrer dans le cadre d’une démarche scientifique », indique-t-elle. « Les internes volontaires pour ces projets doivent ainsi réaliser en amont de la création du site une étude bibliographique fournie. » Les données sont donc collectées, triées, classées et enfin référencées avant d’être traitées sous la forme d’une question de recherche validée par la directrice de thèse.

La question de recherche permet de donner le « la » au site : elle en définit la thématique globale et ainsi son objectif majeur. « Cela peut couvrir différents champs comme l’aide au diagnostic/dépistage, le partage de bonnes pratiques, le partage de conseils thérapeutiques, le partage de fiches pratiques, de l’aide à la prescription », explique le Dr Reboul.

C’est ainsi six sites web qui ont vu le jour depuis 2020 !

 

Dermatokid.com, créé par Estelle Renart : un site d’aide au diagnostic des pathologies dermatologiques de l’enfant de 0 à 6ans.

Régulièrement sujet à des éruptions cutanées, l’enfant peut présenter quelques difficultés sur le plan diagnostique pour le médecin généraliste. Le site Dermatokid permet une démarche diagnostique à partir de nombreuses illustrations des symptômes cutanés observés chez l’enfant.

  • URL : https://dermatokid.com/
  • Cible : internes, Médecins Généralistes
  • Objectif : Aide au diagnostic
  • Les + : les nombreuses illustrations, les fiches pratiques synthétiques et la section urgence
  • La caution qualité : Fabrication du site selon les critères de la grille Hodge Sandvik, référencement sur le site KitMédical répertoriant les sites internet de qualité. Une mise à jour régulière est prévue.
  • Poster : à télécharger

 

Depistoeil.com, créé par Tibère de Villiers : un site d’aide au dépistage en ophtalmologie et soins primaires

Le médecin généraliste est rarement confronté au dépistage de pathologies ophtalmologiques. Le manque de matériel ou de formation peut le mettre en difficulté. En proposant un protocole d’interrogatoire et des outils pratiques de dépisatge au cabinet en fonction de l’âge du patient de pathologies fréquentes, le site apporte un véritable soutien aux praticiens.

  • URL : https://www.depistoeil.com/
  • Cible : Médecins Généralistes
  • Objectif : Aide au dépistage
  • Les + : une aide au dépistage en fonction de l’âge du patient ou de sa pathologie ; Outils proposés utilisables au cabinet
  • La caution qualité : Le site a été testé par 27 médecins généralistes et 2 médecins ophtalmologistes. Il a été élaboré sur des critères de qualité des grilles de Netscoring et Hodge Sandvik.
  • Poster : à télécharger

 

Kineclic.fr, créé par Thomas Bonnin : un outil d’aide à la compréhension et à la prescription des soins de kinésithérapie

Le médecin généraliste communique peu avec les kinésithérapeutes. Ils sont peu formés aux pratiques de kinésithérapie. Le site Kineclic leur permet d’améliorer leur compréhension des soins de kinésithérapie et donc d’améliorer leurs pratiques en matière de prescription ces soins.

  • URL : https://www.kineclic.fr/
  • Cible : MG et tout professionnel de santé prescripteur de soins de kinésithérapie
  • Objectif : Aide à la compréhension et à la prescription
  • Les + : rappels des bases de la kinésithérapie, rappels des examens cliniques (vidéos)
  • La caution qualité : Le site a été testé par des médecins généralistes et validé par des kinésithérapeutes expérimentés. Une mise à jour régulière est prévue.
  • Poster : à télécharger

 

Gestrapratique.fr, créé par Manon Hériat : un site pour aider à la prise en charge des questions fréquentes de la femme enceinte en médecine générale

Les femmes enceintes peuvent être amenées à effectuer une partie de leur suivi de gestation chez leur médecin généraliste. Le site Gestapratique permet d’aider les médecins à répondre à leurs interrogations.

  • URL : https://gestapratique.fr/
  • Cible : Internes, Médecins Généralistes, Sages-Femmes
  • Objectif : Répondre aux questions fréquentes du quotidien de la patiente enceinte
  • Les + : les conseils sur la vie quotidienne, les fiches pratiques à destination des patientes à télécharger
  • La caution qualité : Le site a été testé 30 médecins généralistes. 83% d’entre eux trouvent le site pratique. Une mise à jour régulière est prévue.
  • Poster : à télécharger

 

Declic-ecrans.com, créé par Gauthier Duret : une banque de fiches d’information sur la prévention du mésusage des écrans chez les jeunes enfants

Véritable sujet de société, l’exposition aux écrans pour les plus jeunes suscite des interrogations auprès des jeunes parents. Ce site permet de rassembler sous la forme de fiches synthétiques toutes les bonnes pratiques sur le sujet, facilement accessibles pour médecins et patients.

  • URL : https://www.declic-ecrans.com/
  • Cible : Internes, Médecins Généralistes, Sages-Femmes, Parents
  • Objectif : Répondre aux questions fréquentes de la part des jeunes parents
  • Les + : Fiches imprimables
  • La caution qualité : fiches élaborées à partir de 2 revues de la littérature, 650 parents testeurs, 450 professionnels de santé testeurs. Le site est référencé par le site KitMédical, répertoriant les sites internet de qualité. Une mise à jour régulière est prévue.
  • Poster : à télécharger

 

Kidprotect.fr, créé par Maud Bettenfeld : un site d’aide à la prévention, au repérage et à la prise en charge de la maltraitance infantile et des phénomènes de mise en danger de l’enfant

Le site permet d’améliorer les connaissances des médecins et autres professionnels du secteur de la petite enfance sur les facteurs de risques, les signes et symptômes, la prise en charge de la maltraitance infantile. Mieux informés, les professionnels sont amenés à mieux dépister et mieux prévenir.

  • URL : https://kidprotect.fr/
  • Cible : Médecins Généralistes, Professionnels de la petite enfance
  • Objectif :Partage de bonnes pratiques sur les attitudes à avoir en consultation en cas de suspicion de maltraitance, Fiche pratique sur comment engager une procédure (information préoccupante,signalement)
  • Les + : Les conseils sur l’attitude à tenir en consultation, la navigation facilitée par question, les ressources classées par région
  • La caution qualité : Le site est référencé par le site KitMédical, répertoriant les sites internet de qualité
  • Poster : fera l’objet d’une publication en 2023, dans le cadre d’un congrès scientifique.

 

 

Une initiative repérée par le Quotidien du Médecin !

Alors que ces sites rencontrent un franc succès depuis leur création (certains sites affichent plus de 60 000 visites par an à l’heure où nous écrivons ces lignes) ; la rigueur scientifique avec laquelle ils ont été conçus ont attiré l’attention des médias. Ainsi, la revue le Quotidien du Médecin a mis en avant les sites Dermatokid et Declics-Ecrans !

 

 

De nouveaux projets en cours de conception

Suite au succès de ces 6 premiers projets, le Dr Marie-Catherine Reboul souhaite renouveler l’expérience avec de nouveaux internes, sur de nouvelles thématiques : « Je pense à la thématique de la dépression / santé mentale ainsi qu’à la thématique des troubles du sommeil ». Alors internes ou futurs internes de médecine générale, n’hésitez pas à vous manifester auprès du Dr Reboul si ces projets vous intéressent !

 

 

 

 

JPO 2023

Cette année encore, la Faculté de Médecine ouvrira ses portes sur ses campus de Nîmes et Montpellier (Arnaud De Villeneuve) pour une journée, le samedi 11 février 2023. Cette journée sera l’occasion pour nos futurs étudiants de rencontrer nos professeurs, nos personnels de scolarités ainsi que nos étudiant.e.s actuellement engagé.e.s dans les filières médicales et paramédicales.

Une journée à la découverte de nos deux principaux campus

Ouverte à tous.tes, parents comme lycéen.ne.s ou étudiant.e.s en cours de réorientation, cette journée sera organisée sur nos deux campus principaux, de 10h à 16h :

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CAMPUS MONTPELLIER

641 avenue du Doyen Gaston Giraud

34090 MONTPELLIER

CAMPUS NÎMES

186 chemin du Carreau de Lanes

30900 NÎMES

 

Au programme

Venez nous retrouver lors de notre Journée Portes Ouvertes de la Faculté de Médecine (accessible sans pré-inscription) !
Au cours de cette journée, vous pourrez :

  • Poser vos questions à nos étudiant.e.s, professeur.e.s et personnels administratifs de scolarité
  • Assister à des conférences
  • Trouver de la documentation
  • Visiter nos campus de Montpellier et Nîmes

Pour ne rien manquer du programme de cette journée, c’est ici !

Et pour tout savoir sur les JPO à l’UM, rendez-vous ici : https://www.umontpellier.fr/articles/journee-portes-ouvertes-de-lum

 

Le saviez-vous ? Le Jardin des Plantes renferme de nombreuses originalités. Parmi les plus récentes en date : un jardin potager permaculturel. Créé il y a deux ans, à l’initiative de Jean-François « Jeff » Fauveau, membre de notre équipe de jardiniers-botanistes, ce carré permaculturel est aujourd’hui lauréat du prestigieux concours national des jardins potagers, organisé par la Société Nationale d’Horticulture de France ! Une immense fierté pour notre Faculté et les équipes du Jardin des Plantes. À l’occasion de la remise des prix qui a eu lieu le 30 novembre, nous avons rencontré Jeff qui nous a renseigné sur ce projet.

 

Un projet issu d’une réflexion post-confinement

C’est en 2020 que germe dans l’esprit de Jeff l’idée de créer un carré potager permaculturel au Jardin des Plantes. Intrigué par l’actualité d’alors, notre jardinier avait en effet observé que de nombreuses personnes se saisissaient de la permaculture pour répondre à des enjeux politiques et économiques.

Investi par la mission de sensibilisation du Jardin des Plantes, Jeff souhaite, par ce jardin, inviter les Montpelliérains à se réapproprier l’agriculture et à reprendre la main sur leur alimentation. Pour cela, il pense son projet autour des variétés de plantes à privilégier sur nos balcons, terrasses et jardins dans notre région au climat méditerranéen.

 

Un jardin permaculturel : kézako ?

Lorsqu’on demande à Jean-François de nous expliquer à quoi correspond un Jardin permaculturel, il nous répond sur deux plans :

  • Le plan technique: la permaculture est issue de pratiques mutualisées à travers le monde, visant à observer la chimie du sol afin d’avoir le moins d’action possible sur celui-ci et sa construction. L’objectif est d’associer des variétés spécifiques de plantes, principalement vivaces, pour créer des systèmes symbiotiques permettant ainsi d’éviter l’apport d’intrants chimiques tels que les pesticides ou des engrais.
  • Le plan des valeurs: plus qu’une simple pratique, la permaculture repose selon Jeff, sur un système de valeurs visant à « protéger la terre, les hommes et partager les surplus ».

 

Somme toute, un jardin permaculturel est un jardin pensé durablement, grâce à une observation minutieuse des écosystèmes biologiques. Travaillé dans le respect de la nature, des saisons et des hommes, il permet d’aboutir des végétaux cultivés sans apports de produits chimiques.

 

Le carré permaculturel du Jardin des Plantes : un lieu de diversité végétale, ouvert au public

Initié en 2020, le jardin permaculturel est visible au niveau du carré numéro 4 de l’école de systématique du Jardin des Plantes. Sur une surface de près de 200 m², le potager concentre plus de 250 espèces de plantes, toutes comestibles. Parmi les espèces cultivées, Jeff essaie de varier entre des plantes dites « classiques » et d’autres plus « originales ». On y retrouve ainsi tomates, aubergines, concombres, pommes, raisins, maïs mais aussi des choux de Daubenton, de l’ail Rocambolle, de la stévia, des cacahuètes ou du bissap. Des fleurs comestibles sont également au rendez-vous pour égayer les papilles des plus gourmands.

Ce potager permaculturel est entretenu par les soins de Jeff qui s’applique également à le faire découvrir aux Montpelliérains par le biais de visites guidées, entre mars et novembre. Jeff en profite pour y prodiguer des conseils sur la permaculture et faire découvrir le fruit de son travail en donnant aux visiteurs quelques fruits et légumes à déguster lorsque la saison s’y prête !

 

Un projet original, lauréat du concours national des jardins potagers 2022

Toute cette variété et ces initiatives pédagogiques ont sans aucun doute contribuer à faire de ce projet un des lauréats du concours national des jardins potagers !

Après avoir candidaté en juin sur la catégorie 4 « Jardin ou Parcelle Pédagogique », les équipes du Jardin des Plantes ont reçu en septembre les jurys du concours au cours d’une visite de deux heures, au cours de laquelle ils ont posé diverses questions techniques à notre jardinier.

Quelques semaines plus tard, c’est avec grand plaisir que Jeff découvrait avoir été sélectionné parmi les 60 jardins en compétition pour recevoir le Grand Prix du meilleur jardin potager pédagogique de France ! 

C’est au cours d’une cérémonie ayant eu lieu le 30 novembre 2022 à Paris que Jean-François et Emmanuel Spicq, chef de culture du Jardin des Plantes ont reçu le prix. Une véritable fierté pour Jeff :

« C’est une très belle surprise. Je suis très heureux, ce projet et ce concours nous permettent de sortir de notre périmètre habituel. Cela nous permet de nous mettre en contact avec d’autres institutions nationales, de nous ouvrir vers l’extérieur. J’ai hâte d’échanger avec les autres participants et lauréats pour faire évoluer ce projet vers d’autres horizons ! »

 

 

 

De la suite dans les projets du Jardin

Outre le joli coup de projecteur sur notre Jardin, ce concours est en effet l’occasion de développer de nouvelles relations d’échanges ou partenariales avec d’autres jardiniers, jardins et/ou institutions, associations.

« J’espère pouvoir trouver dans ces échanges de nouveaux conseils pour développer la pratique de la permaculture sur d’autres projets. Après le potager, j’aimerais expérimenter avec d’autres collègues jardiniers du Jardin des Plantes, la possibilité de développer un nouveau carré permaculturel sur la thématique des plantes résistantes à la sécheresse ! » nous informe Jeff, enthousiaste.

Le carré, déjà identifié, se situera sur le massif Dunal Dellile, une autre parcelle de l’école de systématique. Nous souhaitons donc le meilleur pour la suite à nos équipes du Jardin pour ce nouveau projet, qui sera peut-être l’occasion de postuler à ce concours, dans une autre catégorie !

 

Infos pratiques :

Tous les cinq ans, une nouvelle équipe décanale, composée de vice-doyen.ne.s et de chargé.es de mission est nommée par le ou la Doyen.ne pour le ou la représenter dans le cadre de missions définies. Cette année, Pr Nadine Houede a été nommée Vice-Doyenne aux finances. Elle succédera prochainement au Vice-Doyen Messner sur cette fonction. Retrouvez ici son interview : découvrez son parcours et les projets qu’elle souhaite mettre en place dans le cadre de sa mission !

Vous avez été nommée par la Doyenne Mme Isabelle Laffont, pouvez-vous nous présenter votre parcours ainsi que votre spécialité ?

Diplômée de deux doctorats médecine et biostatistique, j’ai eu la chance de passer deux années au Canada en fin de cursus, ce qui m’a permis d’obtenir une solide expérience en oncologie urologique et une dynamique de recherche. J’ai fait ma première partie de carrière en tant qu’oncologue au centre anticancéreux de Bordeaux, chef du département d’onco-urologie et de l’unité des essais de phase précoce, membre actif de sociétés savantes française et américaine en oncologie.

Actuellement cheffe de service au CHU de Nîmes et adjointe au chef du pôle, je mène de nombreux programmes de recherche au sein d’une unité INSERM de Montpellier et me bats pour la mise à disposition rapide des progrès de la recherche au bénéfice des patients.

 

Comment comptez-vous concilier vos activités de vice-doyenne et vos autres obligations professionnelles ?

J’ai la chance d’être appuyée par une équipe jeune et dynamique en oncologie, j’occupe deux fonctions inhérentes au statut universitaire, directrice du Cancéropole Grand Sud-Ouest, au plus près des équipes de recherche en cancérologie, et maintenant vice-doyenne chargée des finances, en soutien aux projets des enseignants et des étudiants.

 

Quels seront vos contributions et vos objectifs ? Quels sont les projets que vous souhaitez mener à bien dans votre fonction ?

Madame La Doyenne m’ayant accordée sa confiance dans cette nomination, je souhaite l’assister au mieux dans les missions de gestion qui me sont dévolues, à la fois pour ses actions spécifiques en terme de DI et DIU et en lien avec l’université. Je travaillerai pour un équilibre budgétaire afin d’offrir aux étudiants et enseignants les meilleures conditions d’enseignement possible.

 

Qu’est-ce qui vous a motivé à accepter cette nomination ?

Si je dois souligner que les chiffres sont dans ma nature, deux facteurs m’ont motivée pour accepter ce poste, d’une part ma reconnaissance envers la faculté qui m’a nommée Professeur en 2015 et mon souhait de mettre en retour toutes mes ressources à contribution pour la poursuite de ses actions, d’autre part le compagnonnage bienveillant de mon prédécesseur le Pr Patrick Messner.

Régulièrement, la DVC (Direction de la Vie des Campus) lance des appels à projets nommés « ALIVE » pour améliorer la vie des étudiants sur les campus de l’Université de Montpellier. Ces projets, construits en collaboration avec les étudiants de chaque campus permettent de donner naissance à des initiatives originales qui sont financées par la CVEC. En 2020, la Faculté a répondu à l’appel permettant d’aboutir à la création d’un abri-vélos sécurisé sur le campus Arnaud de Villeneuve.

De quoi parle-t-on ?

Alive, ce sont des appels à projets lancés, chaque année, par la DVC (Direction de la Vie des Campus) avec un cahier des charges clairement exprimé :

« Dans le cadre du déploiement de la CVEC*, l’Université de Montpellier a choisi de lancer l’appel à projets ALIVE « Amélioration des lieux de vie étudiante » à destination des UFR, Écoles et Instituts. L’appel à projets est lancé pour la création ou la réhabilitation d’espaces destinés à la vie étudiante sur les campus de l’UM et ce, en dehors des lieux de formation. »

Ces appels à projets  ont donc pour objectifs de :

  • Favoriser les conditions d’accueil et de la vie étudiante
  • Développer le mieux vivre ensemble pour les étudiant·e·s.

 

Le projet de 2020-2021 : un abri à vélos sécurisé pour le campus ADV

En 2020, la Faculté de Médecine, en collaboration avec le Vice-Doyen étudiant de l’époque, Florian Mary, décide de consulter ses confrères et consœurs étudiant.e.s et de répondre à l’appel à projet ALIVE. Il est ressorti de cette consultation le besoin d’un abri à vélos sécurisé. Sa construction a ainsi débuté en janvier 2022 et a été achevée en ce début d’année universitaire.

L’abri à vélo est maintenant en fonction avec un accès sécurisé par carte pour 150 étudiants du Campus ADV. Ceux-ci se sont inscrits volontairement en septembre suite à l’appel émis par la direction de la faculté par e-mail. En janvier 2023, le nombre d’accès sera réévalué à la hausse s’il est constaté une sous-utilisation de l’abri.

Cet abri constitue un véritable avantage pour nos étudiants qui peuvent ainsi allier efficacité et écologie en choisissant le vélo comme mode de transport. La sécurisation de l’abri permet de limiter fortement les vols !

 

* La loi n° 2018-166 Orientation et Réussite des Étudiants du 8 mars 2018, dite loi ORE, a créé une contribution vie étudiante et de campus (CVEC), destinée selon l’article L. 841-5.-I du code de l’éducation à « favoriser l’accueil et l’accompagnement social, sanitaire, culturel et sportif des étudiant·e·s et à conforter les actions de prévention et d’éducation à la santé réalisées à leur intention »

En juillet, via le pôle échanges de l’ACM, 13 étudiants ont eu l’opportunité de s’envoler pour le Togo dans le cadre d’un projet solidaire pour une association qui œuvre pour la réhabilitation d’une école. Une soirée restitution du Projet de Solidarité Internationale a été organisée autour de la projection d’un film ! Retour d’expérience.

Comment s’est passé votre voyage ?

Le voyage s’est merveilleusement bien passé. Nous avions évidemment beaucoup de craintes puisque bien que le projet a été pensé il y a 3 ans, il n’a jamais abouti jusqu’au bout à cause de la crise sanitaire. Nous étions donc les premiers à partir mais le voyage s’est bien passé que ce soit au niveau du pré-projet (récolte d’argent, bourses, tombola..), de la sécurité, de la relation avec les volontaires togolais, avec les enfants, au niveau du chantier… Notre arrivée a aussi été bien préparée par notre association locale partenaire Espace Hotsi qui nous a accompagnés de notre arrivée à l’aéroport jusqu’à notre départ en passant par la gestion des logements, des repas, des transports…

Quelles étaient vos missions ?

Notre mission principale était l’aide à la rénovation de 4 classes d‘école maternelle / primaire ainsi que des latrines. Le soutien était d’abord financier puisque c’est nous qui avons financé le matériel et les bénévoles (environ 3800 euros). Ensuite, nous avons apporté une aide humaine en constituant une main-d’œuvre supplémentaire sur le chantier.
Les après-midi nous avons organisé des jeux et ateliers avec les enfants du village volontaires (peinture, balle aux prisonniers..). Nous avons aussi assisté à la cérémonie de fin d’année de l’école où les résultats scolaires sont prononcés. Nous avons profité de cette occasion pour offrir le matériel scolaire nécessaire à la rentrée 2022 aux élèves, permettant ainsi une égalité des chances puisque tous les enfants n’ont pas les moyens de payer le matériel demandé.

Qu’avez-vous mis en place ?

Le chantier consistait en la rénovation des escaliers (maçonnerie), de la toiture, des gouttières et de la peinture (nous avons poncé puis repeint les murs extérieurs et intérieurs).

Avez-vous été confrontés à des complications auxquelles vous ne vous attendiez pas ?

Nous ne pouvons pas dire que nous avons été confrontés à de réelles complications. Nous nous étions préparés à être gênés par l’hygiène qui était différente mais nous nous sommes finalement adaptés assez vite (l’adaptation est rapide quand nous n’avons pas le choix). Ainsi, nous avons surtout été surpris d’abord par l’autonomie des enfants et cela dès le plus jeune âge (parfois un enfant de 5 ans peut porter et s’occuper de son petit frère de 1 an). Nous avons aussi pu constater la différence culturelle en ce qui concerne les relations amoureuses et la conceptualisation de celles-ci. A part le choc culturel qui est inhérent à ce genre d’expérience nous n’avons pas vraiment été confrontés à de grosses complications, il s’agit simplement de s’adapter sur tous les aspects de la vie dans un pays ou le mode de vie est à l’opposé de ce que nous connaissons en Europe.

Avant votre voyage, vous vous êtes rapprochés de Médecin du Monde, comment se sont articulées vos actions de sensibilisation ?

En effet, nous avons eu un premier contact avec Médecin du Monde qui était très motivé pour nous accompagner sur cette aventure, malheureusement après plusieurs relances nous n’avons pas eu de nouvelles de leur part. Nous avions donc préparé des séances de sensibilisation mais sur place la pratique a été beaucoup moins évidente que ce que nous pensions. Tout d’abord parce que les enfants ne parlent pas tous bien français en fonction de leur âge (ils apprennent le français à l’école puisque c’est la langue officielle du pays). Et ils avaient aussi surtout envie de jouer avec nous et de faire des activités physiques. La disparité du groupe ne nous a donc pas permis de réaliser nos actions de sensibilisation comme nous l’avions espéré. Cet aspect de la mission est donc un point à améliorer pour l’année prochaine.

En quoi l’expérience vous a impactée ?

Cette question est assez difficile. Je pense qu’il nous a fallu d’abord du temps à chacun au retour afin de « digérer » tout ce que nous avons vécu. Nous n’avons pas la prétention de dire que ce voyage nous a transformé du tout au tout et que nous sommes maintenant des personnes nouvelles. Mais cette expérience marque assurément et nous a beaucoup apporté d’un point de vue humain. Il est parfois intéressant de « se prendre une claque » et nous pouvons dire que c’était une véritable tornade culturelle, sociale et humaine que nous avons vécu. Au retour, nous sommes toujours nous, étudiants en médecine à la Faculté de Montpellier-Nîmes, dans l’engrenage de notre train train quotidien, mais il n’y a pas un jour ou je ne repense pas à ce voyage au Togo. Je ne sais pas si cette expérience fera de moi quelqu’un de meilleur, ou améliorera ma pratique de futur médecin, mais elle m’a apporté quelque chose, cela est certain.

Quel bilan en faites-vous ?

J’ai le plaisir de pouvoir dire que le bilan de cette mission est extrêmement positif. Bien sûr nous pouvons nous améliorer sur la gestion du départ en amont, la gestion de l’argent sur place (difficulté de retrait), la préparation et l’adaptation de la sensibilisation. Mais rien que le fait d’avoir mené la mission à bien est une réussite. De plus, nous sommes certains de l’utilité de notre action puisque nous sommes en contact avec Étienne, le directeur de l’école qui nous envoie régulièrement des vidéos des enfants ayant classe dans leur bâtiment fraîchement rénové. Ce projet est donc évidemment à reconduire en essayant au maximum d’améliorer les petits cafouillages de cette année.

Avez-vous de nouveaux projets ?

Les nouvelles Vice-Présidentes en charge des Échanges au sein de l’Association Carabine Montpelliéraine ont récemment présenté auprès des étudiants en médecine le nouveau projet de cette année qui consiste à repartir au Togo avec l’association Espace HOTSI. En effet, nous sommes persuadés que la continuité de cette mission est essentielle pour une année supplémentaire. La forme du projet reste donc la même (chantier de rénovation, construction, soutien scolaire…), le fond reste encore à définir avec la nouvelle équipe des Med’Trotters qui sera bientôt sélectionnée.

Découvrez l’aventure des Med’Trotters en vidéo !